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ట్రాన్స్క్రిప్ట్
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Bien, ouvrons nos Bibles et regardons de nouveau dans l'Épître aux Hébreux de chapitre 11, ce chapitre que nous parcouvons depuis quelques semaines, un chapitre riche en ce qui concerne la foi et nous avons défini la foi comme le contenu ou bien la révélation de Dieu concernant le Saint-Dieu-Jésus-Christ et l'œuvre qu'il a accomplie à la croix. Ces deux vont toujours ensemble. Christ est Christ crucifié. Et nous sommes en train d'étudier un chapitre qui tire tous les exemples de la croix révélée de l'Ancien Testament. Cela nous montre qu'il y a une seule foi unique de tous les élus de Dieu que les Écritures nous révèlent. C'est de ça que l'apôtre Jude parlait ou bien écrivait dans son Épitre, Jude 1, le chapitre 1, verset 3, « Bien-aimés comme je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter, notamment à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Donc, quelque soit l'époque où ceux qui sont les élus de Dieu, appelés les saints, justifiés par le son du Seigneur Jésus Christ, ce que tous les élus partagent ensemble, c'est cette foi unique qui concerne Christ et Christ crucifié. Donc nous avons déjà étudié, commençons par Abel, et puis Enoch, puis Noé, et puis Abraham et Sarah, nous parcourons doucement ces versets, nous arrivons cette fois-ci Dans les versets 20 et 22, où je voudrais que nous étudions ensemble la foi d'Isaac, de Jacob et de Joseph. C'est écrit, c'est par la foi qu'Isaac bénit Jacob et Esaü. Notons, en vue des choses à venir, c'est par la foi que Jacob mourant, bénit chacun des fils de Joseph et il adora appuyer sur l'extrémité de son bâton. Et puis le verset 22, c'est par la foi que Joseph mourant, fit mention de la sortie des fils d'Israël et qu'il donna des ordres au sujet de ses hostes. Alors, qu'est-ce que ces trois avait en commun, entre eux, cité ici encore, c'est la foi. Dans l'Ephésiens chapitre 4 et le verset 5, Paul parle de cette foi unique que partagent tous ceux qui sont élus de Dieu. C'est écrit, commençons dans le verset 3, « Vous efforçons de conserver l'unité de l'esprit par le lien de la paix ». C'est-à-dire que si Dieu nous a choisis, et Christ est mort déjà pour tous nos péchés, donc la paix a été déjà établie depuis la croix entre Dieu et ses élèves, Et puis par l'Esprit, lorsque l'Esprit appelle chacun pour qui Christ a donné sa vie, chaque élu entre maintenant en communion avec le Père, avec le Fils, mais aussi avec les autres qui forment ce corps spirituel de Christ. Et donc nous sommes exhortés à conserver l'unité de l'Esprit. C'est-à-dire que nous ne devons pas chercher des querelles avec d'autres qui sont membres de ce corps de Christ, parce que Christ nous a déjà unis dans cette paix. Et puis, il dit Verset 4, il y a un seul corps et un seul esprit, comme aussi vous avez été appelé à une seule espérance de votre vocation. C'est pourquoi nous pouvons même retourner dans l'Ancien Testament et regarder ces exemples que nous voyons dans Hébreu chapitre 11. Ceux de l'Ancien Testament qui faisaient aussi partie de ce même corps. appelés par le même esprit de grâce à Christ et ayant une seule espérance par leur vocation de l'appel. Il s'est écrit, verset 5, « Il y a un seul Seigneur, une seule voix, un seul baptême ». Il y en a qui, voyant ce mot baptême, identifie ça avec le baptême de l'esprit, d'autres le baptême d'eau, mais je crois dans le contexte qu'il faut comprendre ce baptême étant la souffrance du Seigneur Jésus-Christ, appelée un baptême de feu, qu'il a dû endurer afin que les élus aient en lui, dans ce baptême-là, un seul baptême, une seule souffrance, une seule mort de Christ pour le salut de ses élus, et donc ainsi versait-il un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous. Voilà cette foi unique que nous étudions ensemble. Donc, commençons revenant dans notre texte en hébreu, chapitre 11, verset 20, par la foi d'Isaac. C'est bien écrit, c'est par la foi qu'Isaac bénit. Et c'est intéressant ici, c'est écrit Jacob et Esaü en vue des choses à venir. Nous savons que la Bible nous dit que Dieu a aimé Jacob, mais il a haït Esaïe. Donc, quand il s'agit ici d'une bénédiction où Isaac a béni Jacob et Esaïe en vue des choses à venir, c'est certain que ce que Isaac voyait en ce qui concerne les choses à venir n'était pas La même pour les deux. Pour Jacob, il prophétisait une bénédiction pour sa austérité qui était en fer d'Israël et une austérité qui devait finir par le Seigneur Jésus-Christ. Voilà la bénédiction qu'ils ont. a donné à Jacob, c'était dans ce sens. Donc, lorsque c'est décrit qu'il a béni Jacob, c'est en vue de cette postérité qui devait venir de lui, c'est-à-dire la postérité de Christ. Mais en ce qui concerne Isaïe, on peut se demander quelle bénédiction alors est-ce qu'il réservait pour Isaïe. Et là, on doit dire simplement que c'était des bénédictions temporaires. C'est-à-dire qu'Isaïe était un pécheur récouvé par Dieu, et même plus clair que ça, de la manière que c'est écrit dans Romain, chapitre 9, « haïs de Dieu ». Il y a d'autres qui, en entendant cela, sont révoltés en imaginant que Dieu peut aimer certains pécheurs et en même temps haïr les autres. C'est comme une femme qui demandait à un prédicateur un jour, mais comment ça se fait-il que Dieu a haï Isaïe ? Et le prédicateur a bien répondu, il a dit, je n'ai pas de problème à comprendre comment Dieu a pu haïr Esaïe étant moi-même un pécheur qui ne mérite que la colère de Dieu. Mais ce qui m'éveille, merveille, c'est de savoir comment Dieu a pu aimer un pécheur comme Jacob. Parce que nous savons l'histoire de Jacob, il n'était pas mieux qu'Esaïe. Mais voilà, encore, comme Isaac, ayant le même esprit qu'Abraham, le même esprit de Dieu, a pu prophétiser en ce qui concerne les deux, Jacob et Esaïe, et comme les choses à venir qui concernaient Jacob n'étaient pas encore visibles, voilà encore la foi comme le verset 1 le dit dans notre chapitre 11, est une ferme assurance des choses qu'on espère. Qu'est-ce que Dieu avait déjà révélé à Abraham et puis maintenant à Isaac et puis maintenant à Jacob concernant ce qui devait venir ? C'était une révélation de Christ. Toutes ces prophéties que nous voyons ici étaient des choses qui concernaient la venue du Seigneur Jésus-Christ et comment Dieu devait préserver cette postérité d'Abraham et d'Isa et de Jacob. Pendant des années jusqu'à, comme nous lisons dans l'Épitre de Paul aux Galates, lorsque le temps fut accompli, c'est-à-dire encore selon ce que Dieu lui-même a promis, qu'il a envoyé son fils né d'une femme, cela retourne jusqu'au jardin où Dieu avait promis la postérité de la femme qui devait écraser la tête sous la postérité du serpent, mais né sous la loi, parce que durant toutes ces années les enfants d'Israël n'ont pas pu obéir à la loi, donc il fallait que Christiane et lui-même prennent charge, la charge de son peuple sous la loi et obéissent parfaitement non seulement à la lettre de la loi, mais à l'esprit de la loi. Et donc, à fin, comme c'est décrit dans l'Acte IV-V, Cela comprend nous tous. Je n'étais pas encore né à cette époque, mais c'est la même loi qui dominait sur les enfants d'Israël qui n'ont pas pu obéir me concernait aussi. Et si Christ n'était pas venu pour prendre cette charge sur lui-même et d'obéir non seulement les prêtres de la loi, mais aussi de se soumettre à la pénalité de la loi, c'est-à-dire la mort. On n'aurait pas aujourd'hui la rédemption, mais il a fait tout cela afin qu'il rachète à ceux qui étaient sous la loi, afin que nous ressuscissions l'adoption. Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l'esprit de son Fils, lequel était à votre père. Voilà cette fois, qui unit tous ceux qui sont véritablement les élus de Dieu. Mais ici, lorsqu'il s'agissait d'une bénédiction des aïeux, le monde est plein de ceux qui sont sous la colère de Dieu et pour qui Christ n'a pas versé son sang, il n'est pas mort pour le monde entier comme les faux prédicateurs prêches. Mais néanmoins, ceux-là, nés dans ce monde bénéficient des bénédictions quotidiennes de la main de Dieu en ce qui concerne les choses temporaires, c'est-à-dire ils vivent leur vie dans ce monde avec un certain confort et Pour beaucoup, je dois dire qu'ils n'ont pas l'Esprit de Dieu en eux-mêmes. Ils sont en quelque sorte insensés à tel point qu'ils ne sont même pas troublés par le péché. Et ils vivent chaque jour en bénéficiant de l'air qu'ils respirent et en travaillant du succès des produits du sol ou son succès dans leurs entreprises sans même réfléchir ou donner gloire à Dieu. Ils ne sont pas comme ceux qui sont élus de Dieu en qui l'esprit de Dieu agit, troublés nuit et jour par leur état de péché. Mais je préfère être un de ceux-là en qui l'esprit de Christ réside, par la lumière d'Église continue à me convaincre de mon péché et tourner mes regards vers celui qui est venu mourir pour ses péchés que d'être laissé à moi-même comme dans le cas des Haïts et sa postilité qui ont bénéficié. Il y a toute une nation qui est sortie des règles des Haïts. Edomites, Edom, on lit cela dans les Écritures, et comme une nation était prospérée selon cette bénédiction de Jacob, ou de Isaac plutôt, mais ce n'était que des bénédictions terrestres et temporelles. qui ont, dans l'Histoire, échappé à la servitude dans le temps. Cette nation n'a jamais été assujettie à la servitude en Égypte comme Israël était. Et donc, certaines regardances-là peuvent dire mais au moins ils étaient bénis dans ce sens, oui. Mais tout cela a été aussi selon la volonté de Dieu. Mais lorsque c'est débit par la croix, parce que c'est la même phrase qui se répète, que ce soit pour Isaac, verset 20, pour Jacob, verset 21, et pour Joseph, verset 22, c'est par cette croix, voilà ce que les trois partageaient, et C'est ainsi qu'Isaac a béni Jacob. Il a prédit d'une manière prophétique les bénédictions particulières que chacun devait recevoir. Mais en cela nous voyons la souveraineté de Dieu aussi parce que c'était le plus jeune qui était Jacob qui était favorisé par l'aîné. Nous pouvons consulter Génère chapitre 27, et c'est de ça que l'auteur aux Hébreux se réfère, Génère chapitre 27, et nous n'avons pas le temps de lire tout le chapitre, mais c'est à partir du verset 6 que nous voyons que Jacob devait venir devait être béni par son père Isaac. C'est écrit dans le verset 1 que Isaac devenait vieux et ses yeux s'étaient affaiblis au point qu'il ne voyait plus. Alors, il appela Isaïe son fils aîné et ça c'est un point à souligner que Isaac avait des affections pour Isaïe. On peut dire même peut-être plus que J'accorde. Et lui dit, mon fils, et lui répondit, me voici, Isaac dit, voici donc, je suis vieux, je ne connais pas le jour de ma mort. Maintenant, donc, je te prie, prends tes armes, ton kakwa et ton hake, va dans les champs et chasse-moi du Jiblé. Fais-moi un mec comme j'aime et apporte-le-moi à manger afin que mon âme te bénisse avant que je meure. Maintenant, nous voyons Rebecca qui s'intervient et elle écouta, verset 5, ce qu'Isaac disait à Isaïe son fils et Isaïe s'en alla dans les champs pour chasser le gibier et pour le rapporter. Puis Rebecca dit à Jacob, son fils, moi aussi j'ai entendu ton père qui parlait ainsi à Isaïe, ton frère. Apporte-moi un gilet et fais-moi un maire que je mangerai et je te bénirai devant l'éternel avant sa mort. Maintenant, mon fils, écoute ma voix à l'égard de ce que je te commande. Va me prendre un troupeau de bons chevaux. J'en ferai pour ton père un maire comme il aime. et tu le porteras à manger à ton père afin qu'il te bénisse avant sa mort. Jacob répondit à sa mère, voici salut mon frère est bénu et je n'ai point de poids. Peut-être mon père me touchera-t-il et je passerai à ses yeux pour un menteur et je ferai venir pour moi la malédiction et non la bénédiction. Et sa mère lui dit que cette malédiction mon fils retombe souvent écoute seulement ma voix et va me les reprendre. Jacob alla les prendre et les apporta à sa mère qui fit une main comme son père aimait. Et ainsi de suite nous savons cette histoire comment Jacob a été béni par Isaac, trompé par l'odeur du poêle des boucs qui ont été tués, mais aussi par le mets qui lui a été préparé, qui était semblable à ce que les Haïts devaient lui apporter. Et donc, ainsi de suite, il a fini vers ses 30 de bénir Japon, et Jacob avait à peine quitté son père Isaac et qu'Esaïe, son frère, revint de la chasse. Et lorsque Esaïe attendait la bénédiction de son père, alors il a dû apprendre qu'Isaac avait déjà béni Jacob. Et d'autres peuvent peut-être poser la question, mais pourquoi Rebecca s'est intervenue pour que Isaac bénisse Jacob et non pas Esaïe. C'est parce que c'est à elle d'abord que la révélation a été faite que l'aîné devait servir, ou bien le plus jeune devait servir l'aîné Alors, on peut dire que même Rebecca ici agissait par cette foi, cette révélation, quand nous comparons le commentaire, surtout dans le Nouveau Testament, parce que c'est lorsque Rebecca était enceinte de ces deux et qu'il y avait cette lutte dans son sein, que ça a été révélé que le plus jeune devait dominer l'aîné, et Paul prend ça comme un exemple de la souveraineté de Dieu dans Romain chapitre 2. Ce passage s'est écrit dans Romain 2, verset 10, et de plus il en fut ainsi de Rebecca, qui conçut du seul Isaac, notre père, car, quoique les enfants ne fussent pas encore nés, et qu'il ne se fait ni bien ni mal, afin que, notons le dessein, l'élection de Dieu subsista, sans dépendre des œuvres, et par la seule volonté de celui qui appelle. Voilà ce que je voulais que nous voyions, verset 12. « Il fut dit à Rébecca, l'aînée sera assujettie, au plus jeune, selon qu'il est écrit « J'ai aimé Jacob et j'ai haï Isaïe ». Alors ici, on peut dire que, quoique Isaac savait la volonté de Dieu, mais par affection pour Isaïe, il cherchait quand même à bénir Isaïe d'une manière que Dieu lui-même n'a pas ordonnée. Donc cette intervention de la part de Rébecca pour qu'il bénisse Jacob n'était autre qu'à accomplir le plan de Dieu en ce qui concerne cette postérité de Jacob. Cela, si on avait le temps aussi, on pouvait retourner jusqu'à Genève, chapitre 25, et le verset 23, D'ailleurs, dans le verset 22, les enfants se purent dans son sein, Genèse 25-23, et elle dit, s'il en est ainsi, pourquoi suis-je enceinte ? Elle alla consulter l'Éternel. Et l'Éternel lui dit, c'est intéressant qu'il a communiqué sa volonté à travers Rebecca, la femme d'Isaac, et l'Éternel lui dit, deux nations sont dans ton ventre, deux peuples se sépareront aux sorties de désentrailles. Un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit. Et c'est exactement comme cela que cela s'est passé. Donc, en disant cela, on peut peut-être poser la question, mais comment alors, à la fois, est-ce qu'il a béni Japon, c'était en fait, malgré lui, parce qu'il avait l'intention de donner cette bénéfiction à Isaïe, pourtant, c'est à travers ce qui s'est passé qu'Isaïe maintenant a compris qu'il ne pouvait pas aller contre ce que Dieu avait déjà ordonné. au lieu de bénir, il a eu comme c'était son intention, il a fini par bénir. J'accorde et c'est ainsi que Dieu, et c'est pour ça que je dis que si quelqu'un a véritablement cette croix, toute la croix revient à Dieu. C'est ainsi même dans nos vies, si nous sommes à Christ. Ce n'est pas par nos propres désirs ou volontés que nous sommes arrivés là, mais c'est Dieu par son Esprit qui nous a sujetés à Christ afin que nous arrivions à renoncer tout ce que nous imaginons avoir en nous-mêmes et que nous nous confions uniquement au Seigneur Jésus Christ. Donc c'est par la foi, encore, c'est par Christ qu'ils ont béni Jacob et ont fini par séparer cette bénédiction, les bénédictions spirituelles appartenant à Jacob, mais les bénédictions temporelles faisaient partie de la bénédiction des aïeux. Donc c'est par Christ, quand je lis ça par la foi, c'est à cause du Christ, en vue du Christ, que cela s'est passé ainsi, en vue des choses à venir. La foi dans la bénédiction étant entrée après que la tentative d'Isaac de contrecarrer la volonté de Dieu. Cela nous montre que cette foi qu'Isaac avait était le don de Dieu par sa grâce et ne résidait pas en lui-même, comme c'est le cas pour nous tous. C'est Dieu par sa grâce, à cause du Christ, qu'il nous soumet à sa volonté. Alors, cette foi, alors de Jacob, c'est le deuxième que nous voyons dans le verset XXI, c'est par la foi de Jacob qui a déjà vu la manière que Dieu a ordonné à ceux qu'il soit béni, c'est pas cette même foi que lorsqu'il mourait, qu'il a béni chacun des fils de Joseph Jacob a mené une vie assez charnelle en ce qui concerne sa vie et nous pouvons voir beaucoup de détournements de sa part dans sa vie. Pourtant, il était l'objet de la grâce de Dieu et voilà encore un exemple de la manière de personnes que Dieu sauve, c'est des pécheurs. Nous pouvons nous-mêmes témoigner de cela dans nos vies. Ce n'est pas parce que nous avons vécu une vie parfaite, non. Nos vies ressemblent exactement à la vie de Jacob. Autant, maintenant nous le voyons dans sa veillesse, après des années de parcours, mais béni quand même de Dieu. Dieu avait toujours sa main sur lui, et nous le voyons ici, cet Église s'appuyant sur le dessus de son bâton, donc il était dans un état très faible, et il mourait comme c'est le cas de tous ceux qui sont élus de Dieu. Si Christ ne revient pas d'abord, à la fin des temps, pour amener auprès de lui ceux qui sont encore vivants, nous allons tous traverser cette mort physique parce que nous sommes des pécheurs. Mais quelle bénédiction de pouvoir mourir sachant que nous sommes des bénéficiaires de toute bénédiction spirituelle en Christ et que même si nous mourons physiquement, que nous avons cette espérance que donne cette foi des choses meilleures qui sont les nôtres à cause de l'œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Donc, c'est voilà cette foi que nous voyons ici dans le verset 21 qui soutenait Jacob, non seulement durant sa vie, mais jusqu'à sa mort. Ici, il a béni, c'est écrit, chacun des fils de Josèphe. Ce que nous savons de Josèphe, il était béni de Dieu et nous savons aussi du type du Seigneur Jésus-Christ. Comment ses frères l'ont vendu en esclavage, mais le Seigneur l'a préservé. Il l'a fait monter maintenant en autorité en Égypte afin de pouvoir sauver sa famille et Jacob inclus dans sa vieillesse, mais lorsqu'il était mourant, donc proche à la mort ici, il avait cette foi de la même manière que Dieu l'avait soutenue, lui, Jacob, à travers sa vie, il savait aussi que Dieu tiendrait sa promesse de donner à sa postérité cette terre promise que Dieu avait promis à Abraham et ainsi il a béni les deux fils de Joseph, en particulier lorsque c'est écrit dans le verset que nous lisons Il bénit chacun des fils de Josèphe, si vous regardez dans le livre de Genèse chapitre 47 et le verset 31, et voilà le lien que nous avons entre cet Épitre aux Hébreux et puis l'Ancien Testament. Tout ce qui a été écrit dans l'Ancien Testament nous sert comme esquisse de la manière que Dieu sauve les pécheurs et nous voyons ici dans Génèse chapitre 47 en particulier et le verset 31 Jacob dit « Jure-moi » et Joseph lui jura puis Israël se posterna sur le chevet de son lit. Ici c'est écrit qu'il s'appuyait sur le dessus de son bâton, mais les deux peuvent être vrais, qu'il se posternait, il s'appuyait sur le chevet de son lit tout en s'appuyant aussi sur son bâton tellement il était en faiblesse. Et qu'est-ce qu'il avait demandé en particulier en ce qui concerne Joseph ? Il a dit dans le verset 30 « Quand je serai couché avec mes pères, tu me transporteras hors de l'Egypte et tu m'enterreras dans le sépulcre. » Joseph répondit « Je le ferai, ou je ferai selon ta parole. » Joseph n'avait que deux fils. Revenons à notre texte. Lorsqu'il mourait, bénit donc chacun des fils de Joseph. Un de ses fils était Ephraim, de qui est sorti la tribu d'Ephraim, qui était le plus jeune, et l'autre était de la tribu de Manassé. Donc voilà les deux fils. Manassé était l'aîné, autant comme avec Jacob et Isaïe, c'est le plus jeune qui devait dominer. et être plus puissant que Manasseh l'aîné, tout cela était selon la volonté de Dieu. Et donc, sachant que cela même est prédit, lorsque Joseph devait prendre le pouvoir et servir comme un sauveur pour sa famille en Égypte, cela a été prédit déjà, il sait que lorsque Djakob mourait, qu'il bénissait chacun de ses fils de Joseph, c'était en vue de cette postérité qui devait sortir de lui. et par qui maintenant la postérité devait continuer. Parce que c'est écrit aussi un mot-clé dans notre texte, hébreu 11, 21, et qu'il adora. Peut-être que nous ne savons pas exactement ce qui nous attend, allant d'avant, mais ce que nous savons, c'est que Dieu est souverain, et qu'il accomplira tout ce qu'il a commis et pour cela nous pouvons l'adorer. Alors c'est cette foi, cette même foi en vue de l'accomplissement des promesses de Dieu, même après sa mort, nous voyons cette même foi que le Seigneur lui avait donnée, de préserver à travers lui une postérité et de faire venir cette postérité dans le pays promis, exactement comme nous le disons dans le livre d'Exode, Dieu a tout accompli à travers Moïse et puis Jésus-Christ, tout cela sont des titres du Seigneur Jésus-Christ pour l'accomplissement de ses promesses. Et puis le verset 22, on finit C'est écrit, c'est par la voie que Joseph, courant, fit mention de la sortie des fils d'Israël et qu'il donna des ordres au sujet de ses hostes. Donc c'est par la voie. C'est même Joseph qui a mentionné le départ des enfants d'Israël. Ça nous le voyons dans Génères chapitre 50. Et de la même manière que Jacob, avait demandé à ceux que, lorsque Israël serait sorti d'Égypte, qu'il s'est enterré et en dehors du pays, de la même manière que Joseph maintenant. Dans Genèse chapitre 50 et le verset 24, Il a fait la même enquête, jeunesse cinquante. Joseph dit à ses frères, vingt-quatre, je vais mourir, mais Dieu vous visitera et il vous fera remonter de ce pays-ci dans le pays qu'il a juré de donner à Abraham, à Isaac et à Jacob. Et c'est ainsi que Joseph fit jurer les fils d'Israël en disant « Je vous visiterai et vous ferez remonter mes os loin d'ici ». C'est ainsi que Joseph mourut, âgé de 110 ans, en l'embrouant et on le mit dans un cercueil en Égypte. Mais on ne l'avait pas enterré là, en vue du fait que lorsque Dieu a compilé sa promesse de faire sortir Israël et d'Égypte des années plus tard, plus de 200 ans plus tard, mais néanmoins, lorsque Israël est sorti, ils ont amené avec eux les ossements de Joseph, comme il a demandé. On peut peut-être se poser la question, mais quelle importance était-il du fait qu'il voulait que ses os soient apportés hors du pays pour être enterrés dans le pays promis. Je pense à deux choses et voilà l'importance. Premièrement, c'est pour lui, c'était pour Joseph un symbole de sa propre dérivance spirituelle d'Egypte en anticipant qu'il ne devait pas mourir et rester identifié avec Égypte qui représentait l'esclavage. Mais sa délivrance lorsqu'Israël est sorti d'Égypte et par l'agneau Pascal que c'était pour lui aussi une délivrance que même s'ils n'étaient que ses hôtes, lui il s'identifiait avec ce peuple que Dieu a délivré d'Israël et encore, à la fois, c'est en connexion avec la révélation de Dieu concernant le Seigneur Jésus-Christ et de ça qu'il avait en vue du fait que Israël devait être délivré et lui s'identifiait avec ce peuple. Dans Hébreu chapitre 9, verset 15, nous lisons « Et c'est pour cela qu'il est le médiateur d'une alliance nouvelle, afin que la mort étant intervenue pour le rachat des transgressions commises sous la première alliance, il s'agit ici de la mort de Christ, ceux qui ont été appelés reçoivent l'héritage éternel qui leur a été promis. Donc, Joseph savait qu'il devait mourir, mais il savait aussi qu'il ne devait pas rester identifié avec les Égyptiens. Mais son regard était plus loin même que la délivrance d'Israël, d'Egypte, mais en vue de cette délivrance qui devait l'appartenir lorsque Christ lui-même est venu pour payer sa dette comme les autres. Et voilà, lui-même le fait qu'il voulait que ses hôtes, on regarde les hôtes, on dit mais c'est la mort ? Pourtant il avait en vue une vie future qui n'était pas de ce monde et qui était attaché à ce que cette terre représentait, la terre promise, d'où Christ devait venir bien d'aller plus tard et accomplir son salut, comme c'était le cas pour les autres. Georges, qui est le plus ancien des Patriarches, si on peut bien dire, avait cette même espérance dans Georges chapitre 19. Il parle dans son écrit de cette espérance dans Georges chapitre 19 et lorsqu'il avait cette espérance, quand il dit Cherche exactement le verset où il a dit quand il, sa peau se détruirait. Voyons dans le verset 25, jour 19. Que que ce soit ce qui s'est passé, que sa chair physique, il dit, verset 25, je sais que mon rédempteur est vivant. Christ n'était même pas encore venu. Pourtant, il était là depuis l'éternité comme celui que Dieu avait élu pour être le Rédempteur, et voilà cette foi qui lui a été donnée, qu'il serait parmi ceux-là que Christ, lorsqu'il serait venu, allait payer sa dette et ressusciter, le ressusciter. Mais je sais, verset 25, que mon Rédempteur est vivant et qu'il se déverra le dernier sur la terre, ça parla de sa venue dans la chair, quand ma peau sera détruite, il se lévera. Quand je n'aurai plus de chair, je verrai Dieu. Alors c'est cette même foi qui a été donnée aussi à Josèphe en vue de la venue du Seigneur Jésus-Christ. Il y a beaucoup d'autres points qu'on pouvait souligner pas dessus, mais ce que nous venons de voir, ça nous démontre que quelles que soient les faiblesses de ces hommes-là, quand on les appelle hommes de foi, ce n'est pas parce qu'ils étaient mieux que d'autres, non, mais ils étaient des objets de la grâce de Dieu. Et cette foi qui leur a été donnée, c'était en vue des choses à venir, en vue de l'accomplissement du Seigneur Jésus-Christ. et de son valeur à leur égard. Et c'est la même foi que Dieu nous donne. Moi-même personnellement, je n'ai pas encore vu le Seigneur physiquement dans cette chair, mais j'ai cette même espérance que cela, que même si je dois mourir et ma chair n'est plus, j'ai cette espérance de voir mon Dieu dans l'éternité et l'espérance qu'un jour Ce corps sera ressuscité et je serai à jamais, corps et âme, dans la présence du Seigneur Jésus-Christ, à qui nous donnons toute la gloire, alors que le Seigneur bénisse cette parole que nous venons d'entendre. Amen.
La foi d'Isaac, Jacob, et Joseph
సిరీస్ Enseignements bibliques
Qu'y avait-il d'unique dans la foi d'Isaac, de Jacob et de Joseph? Comment la foi d'Issac, de Jacob et de Joseph se tournait-elle vers le Seigneur Jésus-Christ? Comment Isaac, Jacob et Joseph étaient-ils pécheurs comme tous les autres?
ప్రసంగం ID | 92521054347225 |
వ్యవధి | 47:12 |
తేదీ | |
వర్గం | బోధన |
బైబిల్ టెక్స్ట్ | హెబ్రీయులకు 11:20-22 |
భాష | ఫ్రెంచ్ |
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