Prenons la Bible une fois de nouveau et regardons ensemble dans le titre du chapitre 3. Continuons notre étude dans ce chapitre. La dernière fois, nous avons vu ce que c'est d'être des fils de perdition, d'être perdus. Et que même, quoi que nous sommes élus, Dieu, mais à moins nous sommes de même nature, comme c'est décrit ici dans le verset 3, nous étions autrefois, c'est-à-dire avant que l'Esprit de Dieu ne fasse son œuvre de grâce en nous, nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de compotise et de voluté, vivant dans la méchanceté et dans l'envie dignes d'être haïs et nous haïssons les uns les autres. Cela nous montre que si nous sommes aux seigneurs, si nous sommes les fils de Dieu, ce n'est certainement pas à cause de quelques biais en nous. Mais comme nous allons voir aujourd'hui dans les versets 4 jusqu'au verset 8, c'est à cause de l'amour et la bonté de Dieu. comme nous lisons dans le verset 4 « Lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés » Notez bien verset 5 « Il nous a sauvés » Dieu, « Il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit, qu'il a répandu sous jour avec abondance. C'est de là qu'est tiré alors le titre de cette étude, l'amour et la bonté de Dieu. C'est ça qui est la base du salut et ce n'est pas un amour général, général pour tous les êtres humains, mais en particulier quand il décède vers les saints. Il nous a sauvés, non à cause des heures de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, qu'il a répandu sous nous avec abondance. Pas Jésus-Christ, notre sauveur. Notez bien, afin que qui veulent nous faire croire que nous sommes justifiés par notre foi personnelle. Non, même la foi est un don de Dieu. La capacité de connaître Christ et d'être en lui et par grâce, tout par grâce, par grâce de Dieu, sans aucune oeuvre contribuée De notre part, afin que justifiée par sa grâce, nous devenions en espérance héritiers de la vie éternelle. D'accord, c'est un terme très important, il ne dit pas méritier, ce qui mérite la vie éternelle, mais héritier, selon le choix de Dieu. Les héritiers de Dieu sont selon son choix. Exactement comme si on établit un testament aujourd'hui, en cas de notre mort, à qui nous laissons ces biens, il faut préciser ces noms dans ce testament. C'est un document légal que nous avons. Voilà le testament de Dieu, que tous ceux qu'il a choisis depuis l'éternité et qu'il a donné à son Fils, le Seigneur Jésus, depuis l'éternité, pour que Christ vienne et donne sa vie. Parce que le testament n'est pas en force jusqu'à ce que le testateur est mort. Ça c'est Christ. Et c'est grâce à sa mort que nous sommes devenus héritiers de la vie éternelle. Sa vie pour notre vie nous substitue. Et cette parole, pour le dire à titre, est certaine et je veux que tu affirmes ces choses afin que ceux qui ont cru en Dieu s'appliquent à pratiquer de bonnes oeuvres. Voilà ce qui est bon et utile aux hommes. Est-ce que vous savez la différence entre les oeuvres de justice ou bien les bonnes oeuvres ? Parce que non à cause des oeuvres de justice, ça c'est un terme qui s'applique toujours à ce que l'homme cherche à produire ou satisfaire à un Dieu Saint. Et nul ne sera justifié, sauvé par les oeuvres de justice de notre part, parce que tout est souillé par notre péché. Il y a une différence entre œuvre du justice mentionnée dans le verset 5 et comme nous voyons ici dans le verset 8 s'applique à pratiquer de bonnes œuvres. Les bonnes œuvres sont les œuvres que Dieu lui-même produit en nous et à travers nous par son esprit et C'est selon son esprit que nous agissons conformément à cette grâce que le Seigneur nous a donnée. Mais nous ne nous confions même pas à des bonnes œuvres. S'il y en a en nous qu'on peut citer comme bonnes œuvres, ça c'est aussi par la grâce de Dieu. C'est grâce à Dieu et à son esprit agissant en nous et à travers Tout ce qui provient de nous, on ne peut jamais dire que c'est un bonheur. Ça ne mérite que la condamnation. Or, la conclusion que nous avons vue la dernière fois, dans le verset 3, décrit ce que nous étions. Et dans un mot, on peut dire cela décrit notre état de perdition. Si nous sommes enfants de Dieu, ce n'est pas dans cet état que nous sommes nés dans ce monde en tant qu'étant, ayant déjà la vie en nous. Nous étions enfants de Dieu selon le choix de Dieu et selon son élection de la grâce. Mais lorsque nous sommes nés dans ce monde, en nous. Donc, dans notre état en tant que pécheurs, en tant qu'hommes, on était exactement comme tout autre. Mais qui peut nier cela? Donc, nous étions perdus. Et c'est pour cela que ça exigeait maintenant une œuvre de Dieu se manifestant en nous pour que nous soyons sauvés. dans le sens de nous prendre des ténèbres et nous amener à la lumière. Nous pouvons dire d'un côté que tous ceux qui appartiennent à Dieu sont sauvés déjà par le sang du Seigneur Jésus-Christ lorsqu'il est venu, il a donné sa vie. Voilà le seul sacrifice qui sauve les pécheurs pour lesquels il est mort. Mais il fallait maintenant la manifestation de cette grâce. Il fallait que Dieu, par son Esprit, appelle à Christ ceux qu'il a choisis et pour qui Christ est mort. Donc, dans le verset 4, cela nous montre la base de tout cela. Comment on peut dire que nous sommes les objets de sa grâce, comment nous pouvons dire que Dieu nous a sauvés ? C'est écrit dans le verset 4 « Lorsque la bonté de Dieu, notre sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés ». Il y a plusieurs manières que la bonté et l'amour, notez bien, la bonté de Dieu, tout dépend de Dieu, et aussi son amour. Les deux vont ensemble grâce à la bonté de Dieu, puisqu'il est bon et il a pu à Dieu sauver les pécheurs, et il a agi selon son amour. Son amour ne change point. Donc cette bonté de Dieu ordonnée depuis l'éternité et cet amour dans lequel nous étions même avant d'exister, c'est cette bonté de Dieu en tant que sauveur. Le sens de ce mot « sauveur » veut dire « il sauve ». Ce n'est pas qu'il veut sauver, mais hélas, il ne réussit pas. Pour la plupart, non, ça ce n'est pas le Dieu de la vie. Ici, la bonté de Dieu, notre sauveur. Encore, c'est important, préciser, il n'est pas le sauveur de tous les êtres humains. Voilà comment certains veulent expliquer cela, que voilà, Dieu est bon et il veut bien être le sauveur de tous les êtres humains. Non, ici, Paul est en train de préciser la bonté de Dieu, notre sauveur. Cela est écrit à des auditeurs particuliers qui vont Les gens qui vont lire cet épître et comprendre qu'il s'agit ici en particulier de ce peuple qu'il a choisi depuis l'éternité, n'oublions jamais le contexte. Quand Paul a commencé dans le titre du chapitre 1, verset 1, Paul, serviteur de Dieu et apôtre de Jésus-Christ, noté pour la foi des élus de Dieu, ce n'est pas pour tous les êtres humains, et la connaissance de la vérité qui est selon la piété, qui est selon la piété que Christ lui-même a accomplie à leur égard, mais qu'elle repose sur l'espérance de la vie éternelle, promis dès les plus anciens temps par le Dieu qui ne ment point et qui a été manifesté, qui a manifesté sa part en son temps. Donc, tout ce que Dieu a ordonné depuis l'éternité, même dans la venue du Seigneur Jésus-Christ pour accomplir cette volonté, maintenant est manifestée par la prédication, comme il dit ici, qui m'a été confiée d'après l'ordre de Dieu notre Sauveur. Lorsque nous lisons ici, ce n'est pas dans un sens général qu'on parle ici de la bonté de Dieu, ni de son amour, dit que Dieu aime tous les êtres humains, autant tous les êtres humains ne sont pas finalement sauvés, qu'est-ce que cela veut dire concernant l'amour de Dieu ? Ça, c'est quel amour qu'il dit qu'il aime, mais en fin de compte, il doit maintenant condamner. Ici, la bonté et l'amour de Dieu. Quand c'est écrit pour les hommes, c'est pour des hommes, des êtres humains, qu'il a envoyé son Fils, le Seigneur Jésus-Christ, dans ce monde. Ce n'était pas pour les anges, ce n'était pas pour d'autres que des êtres humains déchus par leur chute en Adam, mais que cet amour et cette bonté de Dieu a été manifestée pour de tels hommes. écrit ici dans un sens général, mais c'est en même temps particulier, parce que ce n'est pas pour tous les êtres humains, mais pour les hommes sans distinction. Voilà la manière que nous pouvons comprendre qu'il y a ceux qui prêchent l'amour et la bonté de Dieu sans exception. Cela veut dire qui que ce soit, L'amour de Dieu est là, il faut simplement le saisir. Ça c'est comment, c'est souvent prêché, mais c'est un faux message. Non, ce n'est pas tous les hommes sans exception, mais tous les hommes sans distinction. Quelle que soit la race, que ce soit riche ou pauvre, que ce soit gentil, païen ou juif, Dieu a élu un peuple, déjà, de par ce monde entier, les êtres humains, les a élus, et c'est pour eux que Christ est venu donner sa vie. Dans le livre de l'Apocalypse, et le chapitre 5, voilà comment Cela est décrit sous forme de cantique. Apocalypse 5, le verset 9, « Et il chantait un cantique nouveau en disant, Tu es digne de prendre le livre et d'en ouvrir les seaux, car tu as été immolé et tu as racheté pour Dieu par ton sang. » Notez comment c'est mis ici. « Désormais, de toute tribu, de toute langue et de tout peuple et de toute nation. Donc ça, c'est le sens, c'est les Écritures qui expliquent les Écritures. Donc nous ne devons pas tirer ces versets hors de leur contexte sous prétexte que voilà, il s'agit de tous les êtres humains. Non, il s'agit de ceux-ci qui sont décrits qui ont été rachetés pour Dieu par son sang, des hommes, de toutes tribus, de toute langue, de tout peuple et de toute nation. Si effectivement Dieu aime un pécheur, il ne condamnera jamais ce pécheur. C'est pourquoi c'est flou de dire non, Dieu vous aime, mais en fin de compte, il doit vous condamner à l'enfer. Il n'y a aucun pécheur à l'enfer. que Dieu aime. Tous ceux qu'il aime, il sauve. Et il a su, peu importe là où ses élus existent, dans des lieux les plus lointains, si Dieu les a choisis, il assurera que ceux-là entendront ce message de Christ et ils seront convertis. Il y a beaucoup que Dieu laisse à eux-mêmes et qui n'ont jamais entendu et qui n'entendront jamais ce message de la grâce de Dieu. Mais si nous sommes de ce nombre que Dieu a ordonné à ce que cet évangile vienne à nous et que nous sommes maintenant actrices dans notre expérience et par la foi qu'il donne, ça c'est une évidence. alors que nous étions de ce nom-là. Et c'est dans ce sens-là, dans le verset 4 du titre 3, que nous pouvons comprendre le mot « manifester », que lorsque la bonté de Dieu, notre sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, ça a été d'abord manifesté lorsque Christ est venu dans ce monde pour vivre sa vie, en obéissance à la loi et la justice de Dieu et sacrifier sa vie afin que nos péchés soient effacés. Il a été manifesté de cette manière, mais nous ne le savions pas. Et on ne saura jamais si, effectivement, cette même bonté et cet amour de Dieu nous a été manifesté par l'Esprit de Dieu. C'est ça le lien entre le verset 4 et le verset 5. Il nous a sauvés, non seulement à la croix, mais il nous a sauvés aussi de notre ignorance. Il nous a sauvés des ténèbres à l'heure de Christ, il nous a sauvés de toute condamnation de nos péchés, mais parce que le mot « sauver » là signifie « délivrer ». Ensuite, il nous a délivrés par l'œuvre de l'Esprit en nous, ouvrant nos yeux spirituels et nous donnant maintenant la connaissance du Seigneur Jésus-Christ selon les habitudes. Et c'est ça qui est décrit ici dans le verset 5, et tout est lié. Ceux pour qui Dieu est le Sauveur, en son Fils, le Seigneur Jésus-Christ, étant déjà racheté et justifié par Christ, alors cela est manifesté maintenant par l'œuvre de l'Esprit en nous. Autrement, on ne pouvait jamais connaître Christ tel qu'il est révélé ici dans les Écritures. Mais même en ça, le salut entier, que ce soit en ceux que Dieu a élus au salut, que ce soit dans l'œuvre de Christ afin de nous sauver de nos péchés par sa mort, ou que ce soit dans l'œuvre du Saint-Esprit qui nous régénère, qui nous rend à la vie. C'est ça qui est décrit ici dans le verset 5. Le salut est de Dieu. C'est le Dieu, Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, les trois sont un. C'est la divinité qui œuvre et qui a œuvré et qui œuvre toujours pour le salut des pécheurs. Et il y a une harmonie parfaite entre le Père, le Fils et le Saint-Esprit en ce qui concerne le pécheur. C'est hors de nos mains. Donc, si je suis sauvé, c'est grâce à ce Dieu-là. qui depuis l'éternité a baigné dans son amour et dans sa grâce, et lui, choisit un péché tel que je suis. Et que le Seigneur Jésus, dans cette même grâce, dans ce même amour, cette même bonté, a fait tout ce qui est nécessaire pour satisfaire à la justice de Dieu. Afin que lorsqu'il a fini, cette œuvre à la fois, et il a crié des hautes voix, tout est accompli. C'était accompli. C'est à ce moment-là, en ce qui concerne le salut de ses élus, c'était accompli. Et ils étaient en même temps dans le même sacrifice, justifiés déjà devant Dieu, mais maintenant nés dans ce monde, Il faut que l'esprit maintenant se révèle dans ceux-là pour qui Christ a payé la dette, qui ont été déjà sauvés. C'est pourquoi c'est écrit dans la verse 5 « Il nous a sauvés ». Mais qu'ils manifestent en eux. C'est pourquoi ceux qui croient en Christ, c'est le don de Dieu. C'est l'accomplissement de tout ce que Dieu a ordonné et que Christ a accompli. Voilà le salut. Et pour décrire cela, non, à cause des œuvres de justice que nous aurions faites. C'est comme ces prédicateurs qui disent aux gens, mais il faut prier sincèrement pour que Dieu vous fasse grâce. Et en priant, si vous êtes sincères, il pourra alors vous sauver. Ici, déjà, c'est écrit, il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice. Dire aux gens de faire ceci ou cela pour que le salut puisse être accompli pour eux, c'est de les condamner. Ce n'est pas à cause des œuvres de justice. Si on dit que ça dépend de l'homme à exercer sa volonté pour que tout cela puisse se réaliser, Voilà, vous placez devant l'homme une œuvre de justice, mais c'est écrit non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde. Notez bien ces termes qui sont des attributs de Dieu en faveur des pécheurs qu'il a sauvés, sa bonté, son amour et sa miséricorde. Dans le mot miséricorde, vous avez le mot misérable. C'était notre état, décrit dans le verset 3, mais il a pu à Dieu de sauver les pécheurs tels que nous sommes. Et puis c'est écrit par le paterne de la régénération. Quand vous voyez ce mot paterne, c'est en train de décrire l'œuvre de l'esprit, l'immersion, c'est ça le sens de ce mot paterne. exactement comme on plonge quelqu'un dans les eaux de baptême. Ici, ça décrit l'œuvre du Saint-Esprit et ça parle de cette œuvre. Quand on parle du baptême du Saint-Esprit, les gens parlent souvent d'une expérience quelconque qu'on doit expérimenter. Mais ici, c'est une œuvre à l'intérieur, c'est une œuvre spirituelle que les hommes ne voient pas, mais c'est décrit ici comme un baptême de la régénération et puis vous voyez la suite. « Et » ou bien c'est en train de dire « même », ce mot « et » dans ce contexte peut signifier aussi « même », ici de l'eau qui lave le cœur et qui purifie le cœur. Voilà le sens du baptême de la Régénération et le renouvellement du Saint-Esprit. Christ a désigné cela, a mentionné cela lorsqu'il parlait à Nicoudère. en parlant de la nouvelle naissance et c'est là que je voudrais que vous voyez avec moi la régénération. Vous voyez le mot créer et générer, de générer de nouveau par l'œuvre du Saint-Esprit qui est décrit ici comme de l'eau parce que l'eau représente la vie. Donc ici c'est l'œuvre de l'Esprit qui prend un pécheur qui était autrefois en vie, mais qui est mort et maintenant qui est régénéré. Quand on se demande à quel moment est-ce que nous étions auparavant en vie, c'est lorsque nous étions en Adam, avant la chute. représenté en lui, nous avions à ce temps-là la vie comme notre représentant. Puis, maintenant, il a désobéi et lorsqu'il est mort, nous étions morts, nous sommes morts. Et nous sommes restés dans cet état de mort jusqu'à ce que Christ lui-même est venu. Et maintenant, par l'accomplissement de son œuvre à la croix, Nous étions déclarés et justifiés, mais nés dans ce monde, nous sommes toujours nés dans un état de mort spirituel jusqu'à ce que l'esprit, maintenant, vienne et révèle Christ en nous qui l'avons. Et c'est ainsi que nous sommes régénérés, morts en Adam, mais rendus vivants en Christ son esprit. C'est de ça que Christ parlait à Nicodème. Lorsqu'il disait dans le verset 4, Nicodème lui dit « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? » Jésus répondit « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme naît de dos. » Donc voilà le baptême, dos. Mais c'est écrit « et d'esprit ». Il y a beaucoup de confusion qui tourne autour de ce que Christ dit ici. Mais encore dans le contexte « né d'eau », la conjonction « et », on peut traduire ça « même » ou bien « c'est-à-dire d'esprit ». Naître de l'eau, « d'eau », c'est de naître de l'esprit. Sans cela, il ne peut entrer dans le monde. Voilà l'évidence que nous sommes effectivement les enfants de Dieu. C'est lorsque l'Esprit de Dieu lui-même se révèle en nous, révèle Christ en nous. Et c'est ainsi que nous devenions les enfants de Dieu régénérés et renouvelés du Saint-Esprit. Si, par exemple, l'esprit faisait cette œuvre de régénération et qu'il nous laissait à nous-mêmes, on serait encore dans la mort. Ça c'est une œuvre encore qui nous sauve du début jusqu'à la fin. C'est l'esprit qui régénère, comparé à l'eau qui donne la vie, et c'est l'esprit qui continue à nous renouveler. Voici une preuve que Lorsque nous sommes nés de nouveau, ce n'est pas que nous sommes maintenant donnés une nature parfaite. Il y en a qui prennent ça, qui disent, ah, mais une fois que l'esprit est en vous, vous ne pouvez plus pécher. Non, nous sommes pécheurs de nature. Et si le fait qu'il nous faut ce renouvellement du Saint-Esprit, d'abord la régénération et puis le renouvellement continuel à tout moment de l'esprit, C'est de Lui que nous vivons, et ça c'est l'esprit de Christ. Et c'est parce que nous n'avons pas une nature parfaite dans nous. Cette nature reste telle. Nous sommes des pécheurs tous les jours de nos vies, mais sauvés par la grâce de Dieu, sauvés par l'œuvre de Christ, à la fois à notre égard, justifiés, et puis sauver, délivrer continuellement tous les jours jusqu'au bout par le Saint-Esprit qui nous est donné. Et c'est pourquoi il dit dans le verset 6 qu'il a répandu sous nous avec abondance. Nous avons tout ce qu'il nous faut ayant l'Esprit de Dieu en nous. Et cela est par abondance, par Jésus-Christ notre sauveur. Tout est lié à la personne et l'œuvre de Christ. Notre élection de Dieu le Père, c'est grâce au Seigneur Jésus-Christ. Dieu le Père a honoré son Fils en lui donnant le nombre de pécheurs choisis par le Père pour que Christ vienne les sauver. Et La même chose, l'Esprit de Dieu n'est pas en train de parcourir le monde pour essayer de convaincre n'importe qui. Il est en train d'attirer chacun pour qu'il puisse payer la dette. Cette abondance dans laquelle l'Esprit est répandue, c'est par jésuité de notre cerveau. afin de justifier par sa grâce. Quand est-ce que nous étions justifiés ? Ce n'est pas au moment où nous croyons, non. C'est lorsque Christ a payé la dette, déclarée juste une fois pour toutes, mais que nous devenions en espérance héritiers de la vie éternelle. Voilà le fruit, voilà le résultat de l'œuvre de Christ, qu'il répand abondamment son esprit, sur ceux qui l'ont acheté et justifié. Et c'est ainsi, notez, nous devenions. C'est là que nous apprécions et nous arrivons à comprendre jusqu'à quel point nous avons été sauvés par Jésus-Christ et justifiés devant Dieu pour l'éternité, héritiers de la vie éternelle. Je compare ça à mes enfants lorsqu'ils sont nés dans le monde, ils ne sont pas au courant, ils ne savent pas qu'ils appartiennent à ma famille et que je suis leur père. Mais au fur et à mesure qu'ils grandissent, c'est là qu'ils apprécient qu'ils ont été ordonnés par Dieu de devenir part de ma famille en particulier, exactement comme vos enfants. Et c'est là qu'ils apprennent, à travers le temps, que non, ils sont héritiers de tous mes biens. Et cela n'était pas par une décision de leur part. Il n'y a aucun enfant dans ce monde qui peut dire qu'il a choisi sa famille. Non, cela a été ordonné par Dieu. Et c'est la même chose spirituellement. Si nous sommes à Christ, Nous ne pouvons pas nous glorifier, mais par son esprit, nous recevons cette espérance qu'effectivement, ce sauveur qui a été manifesté et qui est venu dans le monde et qui a donné sa vie, c'est en lui et par lui et pour lui que nous sommes maintenant les enfants de Dieu et héritiers de la vie éternelle. Nous ne méritons pas la vie éternelle, héritiers. Ça c'est la grâce de Dieu, la bonté, la miséricorde de Dieu. Et c'est pourquoi Paul termine ici dans la verse 8 en disant à titre de rappeler ces choses, affirmer ces choses, nous ne devons pas douter du message que nous allons annoncer lorsque nous prêchons. Cette parole est certaine, c'est-à-dire cette parole de la miséricorde de Dieu, qui sauve et qui justifie les pécheurs et qui donne à ceux pour qui Christ est mort cet héritage de la vie éternelle. Tout cela, c'est une parole certaine. Nous ne devons jamais douter de ce message. C'est comme une loi ferme et aura toujours le résultat de la gloire de Dieu et du salut des pécheurs pour qui Christ est venu dans ce monde. Paul a dit ça à Timothée, dans 1 Timothée chapitre 1, verset 15, que c'est une parole certaine et digne de toute acceptation. Ce n'est pas tous qui vont recevoir cette parole, mais c'est digne de toute acceptation. Quoi ? Que Christ est venu dans le monde pour sauver pas les justes, il n'est pas venu pour sauver ceux qui cherchent à mériter le salut, mais sauver qui ? Les pécheurs. Donc nous devons insister là-dessus, afin que ceux qui ont cru en Dieu, c'est-à-dire par la grâce de Dieu, la bonté de Dieu, ils ont cru en Dieu, qui s'appliquent à pratiquer de bonnes oeuvres. Là la question encore de bonnes oeuvres, on ne parle pas là de quelques mérites que ce soit ou bien des oeuvres de justice de notre part, mais c'est le fruit de l'oeuvre de Dieu et de sa grâce et l'oeuvre de Christ. C'est-à-dire ayant maintenant en nous l'esprit de Dieu, ce sont des oeuvres qui glorifie Dieu. Et si on avait le temps, on pouvait bien étudier ce terme parce qu'il y a beaucoup de confusion là-dessus, mais vous pouvez vous-même prendre votre concordance et lire les passages qui parlent de bonheur et vous allez voir en chaque cas qu'il s'agit de l'œuvre de la grâce de Dieu en nous et de Dieu pour le pécheur. Nous allons nous arrêter là pour cette fois-ci, mais que le Seigneur bénisse cette parole que nous venons d'entendre. Amen.