Prenons nos Bibles et regardons ensemble dans l'Évangile selon Jean et le chapitre 15. C'est notre texte d'aujourd'hui, surtout du verset 1 jusqu'au verset 7. Et je voulais vous parler du vrai cèpe. Christ vit ici. et le verset 1, je suis le vrai Sep et mon père est le vinairon. D'ailleurs, dans les Écritures, Christ enseignait ses disciples qu'il était la vraie poche. Il a dit que nul ne peut entrer que par lui pour être sauvé. Il est… Dans d'autres passages, il se décrit comme le véritable peintre, le peintre de vie, le peintre qui est venu du ciel. Ce sont des illustrations qu'il donne pour expliquer sa personne et son œuvre. Il dit ailleurs qu'il est aussi l'eau vivante et il est le chemin, il est la vérité et il est la vie. C'est pour nous montrer que tout ce que Dieu a à communiquer aux pécheurs, spirituellement mais aussi éternellement, passage par exemple dans Jean chapitre 3 et le verset 35 si vous voulez bien regarder là avec moi Jean chapitre 3 et le verset 35 c'est écrit le père aime le fils et il a remis toutes choses entre ses mains et cela est vrai depuis l'éternité chose remise entre les mains du Seigneur Jésus pour le salut des pécheurs, c'est-à-dire depuis l'éternité, tous ceux qui doivent être sauvés, il a remis à son Fils, c'est Dieu lui-même qui a fait le choix. Et donc toute chose entre ses mains, même dans l'accomplissement du salut, puisque c'est le Seigneur Jésus qui devait venir et sacrifier sa vie pour payer la dette éternelle de ce peuple que le Père lui a donné. soit dans l'Ancien Testament ou dans le Nouveau. Et ici, dans 1 Corinthiens chapitre 1, verset 30, nous lisons « Oh, c'est pas Lui, c'est-à-dire c'est pas Dieu, le Père, que vous êtes en Jésus-Christ. » Si quelqu'un dit qu'il est en Jésus-Christ, la seule façon d'être Et c'est écrit ici « lequel de par Dieu a été fait pour nous ». C'est là que nous voyons « Christ » comme le substitut « pour nous », « pour ». Ce mot signifie « à la place de ». Et c'est ça le sens de la substitution. Dans un match de football, lorsqu'il y a un substitut qui rentre, Dans le jeu, il y a un joueur qui doit sortir, c'est la substitution. Il s'assoit sur le banc et c'est le substitut qui joue à sa place. Et le Seigneur Jésus-Christ a pris la place sans échec de ces pêcheurs que le Père lui a donnés. C'est à travers la sagesse du Seigneur Jésus que la loi a été accomplie, laissée à nous-mêmes, aucun de nous ne pouvait savoir. Et puis, ça contient la sagesse, la justice. Qu'est-ce que Dieu exige des pécheurs si ce n'est la justice parfaite ? Donc, laissé à nous-mêmes, on ne saurait jamais satisfaire à la justice de Dieu, satisfaire à sa sainteté. Oui, la sainteté de Dieu n'a pas de dégrés. soit vous êtes saint ou bien vous n'êtes pas saint, vous êtes pécheur. Et sans cette sainteté, aucun ne pourrait espérer voir Dieu vis-à-vis. Donc d'où vient cette justice ? Ça vient de par le Seigneur Jésus-Christ. Il est venu accomplir la justice de Dieu, non seulement Et en plus, il a satisfait à cette justice en donnant sa vie, en versant son sang, parce que la justice exige la mort. Donc, pour Christ d'être le substitut, il devait mourir à la place de ces pécheurs que le Père lui a donnés. Et puis, troisièmement, c'est écrit, sagesse, justice et sanctification. Il y a beaucoup aujourd'hui qui J'imagine forcément que la sanctification à ça, ça dépend de moi maintenant. De me mettre à part et de vivre une vie de sainteté moi-même pour que Dieu m'accepte. Mais ça aussi c'est la folie. J'imaginais que quelque part dans ma vie, en moi-même, ce que Dieu exige, mais c'est pourquoi Christ, même dans la sanctification, il a dit dans Jean 17, il s'est sanctifié lui-même pour ce que le Père lui a donné. Et heureusement, parce que nous sommes jugés par Dieu, non seulement de ce que nous disons et ce que nous faisons de nos mères, mais aussi de ce que nous pensons. Imaginez si la seule exigence était pour nous de passer même une journée sans péché dans nos pensées qui pouvaient satisfaire Dernièrement, c'est écrit « et rédemption ». Non seulement la rédemption de par son sang versé à la croix, mais la rédemption finale. C'est pourquoi c'est mis ici à la fin. Que lorsque, à la fin des temps, Dieu ressuscite ceux pour qui Christ est mort, ce sera maintenant la rédemption finale. libérer entièrement de ce corps corrompu et donner maintenant un corps éternel qui ne peut jamais connaître le péché. Alors tout cela démontre combien tout ce que Dieu fait spirituellement et éternellement pour les pécheurs, c'est à travers acceptation devant Dieu et notre pardon du péché, le salut et la vie éternelle sont les nôtres uniquement à travers notre union avec le Seigneur Jésus-Christ qui est le cercle, voilà le sens comme dans l'abriculture, le cerf et la plante qui est enracinée dans la terre. Et ce sont les branches maintenant, ou bien sarments, comme c'est écrit dans Jean XV et le passé, deux, qui dépendent entièrement du cerf. Dans ce que Christ est en train de dire ici, c'est son Père qui est le Vignon. Exactement comme nous venons de lire dans les deux versets précédents, en Jean 5, verset 35, et aussi 1 Corinthiens chapitre 1, verset 30. Le Père et le Fils sont en harmonie. Donc, tout provient du Père. C'est le Père qui a remis tout jugement entre les mains du Fils. Et ainsi, c'est le Fils qui accomplit toute la volonté du Père. Aussi, ici, nous lisons que Christ est le vrai Sept, mais c'est le Père qui est le Vigneron. Le Vigneron est celui qui plante, c'est celui qui s'occupe. c'est lui qui soutient le serpe dans ce qui concerne le Seigneur Jésus-Christ. Si vous regardez avec moi aussi dans Balak chapitre 4 et le verset 4 et le verset 5, tout le salut est entre les mains C'est comme l'illustration ici du Christ comme le vrai sceptre, mais il y a toujours le Père qui est le vigneron. C'est le Père qui a su, à travers son Fils, que tout se passe comme il faut, et cela depuis l'éternité, mais aussi Dieu a envoyé son Fils. Donc voilà l'image de Dieu le Père comme le vigneron et Christ comme le cerf qui devait être planté dans cette terre pour produire du fruit qui représente maintenant ce qu'il est venu sauver. Et c'est écrit, né d'une femme, né sous la loi. Voilà tout ce que, ce qui était nécessaire pour le substitut d'accomplir sa mission. Il devait être né d'une femme, parce que ceux qu'il est venu sauver étaient des hommes de ce monde. Il a pris un corps et il est entré dans ce monde exactement comme les êtres humains entrent, qu'il est venu sauver, mais c'était aussi né sous la loi. C'était nécessaire pour lui d'être le substitut, d'accomplir parfaitement la loi de Dieu à l'égard de ces pécheurs que le Père lui a donnés. C'est comme le vigneron, il a son champ et il sait exactement Comment il veut planter ce cèpe pour que ce cèpe produise? Il fallait que ça soit conformément à sa justice. Et c'est écrit dans le verset 5, « Afin qu'il racheta ceux qui étaient sous la loi, tel était notre état, même en tant qu'élu de Dieu. » Cela ne nous appart simplement par l'élection, enlever les exigences de la loi. Non, la loi exigeait toujours notre condamnation ou bien une sainteté parfaite de notre part. Encore, laisser à nous-mêmes, on ne saurait jamais satisfaire à cette loi. Mais le Seigneur Jésus, de par le Père, est venu et il a accompli tout ce qui était nécessaire, racheta. Le mot racheter, vous voyez ça, re-acheter. On était en Adam, né sous sa condamnation. Il a chuté, donc il fallait alors être racheté pour être amené maintenant à Dieu. Donc il, Christ, la condamnation de tous les êtres humains. Mais nous voyons encore, le cerf a été planté particulièrement haut. Un peu que Dieu lui-même a arrêté, sauvé. Et pour cela, le Seigneur Jésus-Christ est venu dans le monde, les racheter sous la loi afin que nous ressuscions l'adoption. L'adoption signifie qu'on était né dans une autre famille et maintenant quelqu'un d'autre nous prend de cette famille pour faire de nous ses propres enfants. Voilà l'adoption. Où est-ce que cette adoption a été accomplie si ce n'est à travers la vie et la mort du Seigneur Jésus Christ? C'est ça qui a rendu possible pour que nous Il nous a vus en tant que fils dans l'élection, mais il fallait que légalement le prix soit payé afin que tout ce qui est nécessaire pour cette adoption soit accompli conformément à la loi de Dieu. Et nous pouvons nous rassurer que par la comparaison avec le vigneron et le vrai cèpe. Le vrai cèpe, qui est le Seigneur Jésus-Christ, a été planté et a produit selon le désir et le plan de Dieu, le Père, le vigneron. C'est pourquoi c'est écrit. Parce que vous êtes fils de Dieu, un corps a envoyé crie à ma père. Je souris quand je lis ce verset parce qu'il y en a qui disent, ah oui, mais dans la Bible on ne voit nulle part le mot trinité ou un Dieu trinitaire. Mais la Bible, quoique le mot même n'est pas utilisé, nous voyons toujours cette vérité Envoyez dans nos cœurs l'Esprit et puis il y a le Fils. C'est écrit de son Fils, lequel crie Abba Père. Papa, c'est ce que le sens signifie là, Abba, Papa. C'est un terme intime et nous avons ce privilège d'appeler Dieu le Père uniquement à travers l'œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Donc c'est ainsi que nous voyons tout ce qui concerne le cèpe. C'est selon la volonté et c'est pour la gloire du vigneron. Imaginez un vigneron qui démontre le cèpe qu'il a planté et combien ça produit. Et tout cela c'est à la gloire de Dieu le Père. Il y a deux interprétations de ce passage, ce verset que nous devons considérer. Il y en a quand ils lisent « Tout savant qui est en moi et qui ne porte pas de fruits » et le vigneron, Dieu le Père, le retranche. Ceux qui lisent ça, il y en a qui disent, ah voilà, que si nous-mêmes, à la gloire du Père, c'est possible alors que nous soyons retranchés, c'est-à-dire perdre le salut. Et pour cela, il y a des prédicateurs qui utilisent ce verset pour effrayer les gens, pour dire « Ah, même si Christ est mort pour vous, si vous ne marchez pas quand il faut, alors vous serez retranchés ». Mais Nous savons que tous ceux qui sont véritablement en Christ ne peuvent jamais perdre leur salut. Christ, le bon berger, ici, il est décrit comme le saint. Mais dans Jean chapitre 10, nous avons vu comment Christ est le bon berger. Et il dit, par exemple, dans le verset 18, qu'il dit dans le verset 17, le Père même, parce que je donne ma vie afin de la reprendre. Le fait que Christ a déjà payé la dette pour les siens est la preuve que cette dette a satisfait la loi de Dieu, la justice de Dieu et qu'il est ressuscité. Cela démontre que tout C'est pourquoi il dit dans le verset 18 de Jean 10 « Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même, j'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de la reprendre, tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père ». Donc, Christ, de par sa mort, a fait tout ce qui est nécessaire pour le salut. ses brubis comme le bon berger. Et il a dit dans le verset 26 au sujet des incrédules en face de qui Christ parlait, il dit, verset 26, mais vous ne croyez pas parce que vous n'êtes pas de mes brubis. Vous ne croyez pas. parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Vous n'avez jamais été de ce nombre de brebis. Il dit mes brebis entendent ma voix, je les connais et elles me suivent. Donc c'est impossible que quelqu'un soit véritablement une brebis et finit à ne pas être condamné avec le monde, avec les boucles. Il dit dans le verset 28, Je leur donne la vie éternelle et elles ne périront jamais et personne ne les revivra de mon maître. Personne. Donc pour cela, nous ne pouvons pas accepter à ce que quelqu'un soit un serment de ce cèpe, attaché à ce cèpe et puis être perdu. Ce qui s'est écrit dans Jean 15, c'est tout simplement qui est en moi. Il s'agit d'être en Lui, par cette union parfaite, comme nous avons déjà vu, ayant été donnée par Dieu le Père depuis l'éternité, et Christ ayant accompli l'œuvre nécessaire à leur égard, Il y en a aussi qui disent, ah, mais cela ici s'agit de ceux qui professent être en Christ. Et ils donnent l'exemple, par exemple, de Judas Iscariot, ou bien Simon, le magicien, dans le livre des Actes des Apôtres, ou bien d'autres qui ont pour un certain temps marché avec Christ, que Dieu les a retranchés de ce cercle. Mais là encore, ça va contre le sens que nous lisons ici où tout serment qui est un moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche. La meilleure façon de lire cette partie, c'est de savoir que non, il s'agit ici véritablement ceux qui appartiennent à Christ et qui sont véritablement attachés à ce cèpe. Donc, il nous faut rechercher, savoir le sens du mot « retrancher ». Et je crois que c'est là où se trouve le problème, parce que dans le grec, dans l'original, le sens là n'est pas ou bien d'enlever ce sarment, dans ce sens de le retrancher. Mais comme tout véritable cultivateur sait que lorsque une plante pousse, il y a les sarments qui sont un peu plus, pèsent plus que d'autres et qui poussent vers la terre. Et tant que c'est comme ça, comme il faut, alors le cultivateur vient et il soulève ces branches-là. Donc le sens de retrancher ne correspond pas avec le sens dans l'original de supporter ces branches-là, de les soulever de la terre afin qu'ils puissent C'est ce qu'il nous faut en tant qu'enfants de Dieu, laisser à nous-mêmes, on allait toujours chuter, pousser vers la terre, c'est le sens, mais voilà le vigneron qui vient et L'aimonde, le sens d'aimonder, c'est d'enlever les petites branches afin que ces branches produisent du fruit comme il faut. Le sens, là, c'est que notre réussite en tant qu'enfant de Dieu dépend entièrement de Dieu et non pas de nous-mêmes. à cause de la parole que je vous ai annoncée. Donc là encore, Christ n'est pas en train de dire que c'est à chacun de nous de nous purifier devant lui, quand il dit « Vous êtes pur ». Cela est à cause de son œuvre accomplie à notre égard, qui ne peut pas échouer, qu'à cause de l'œuvre de Christ, tous ceux qui sont en lui, sont déjà pus devant Dieu, justifiés devant Dieu, sanctifiés devant Dieu. Voilà le sens de ce verset 3. Et Christ nous l'a déjà dit ça lorsqu'il lavait les pieds des disciples dans Jean chapitre 13 et verset 10, quand il C'est agenouillé pour laver les pieds de Pierre. Pierre est réfusé. Dans Jean 13 et le verset 8, Pierre lui dit, « Non, jamais tu ne me laveras les pieds. » C'est comme ici dans Jean 15, si les serpents, que le Seigneur était en train de supporter et soulever de la terre, est immondé, c'est comme si le serpent disait, « Non, non, Ce n'est pas nécessaire. On n'imagine jamais le savant en train de répondre ainsi aux cèpes. Et c'est ainsi que Christ a dit ici à Pierre dans Jean 13 et le verset 8. Jésus lui répondit, « Si je ne te lave, tu n'auras point de part avec moi ». Et la même chose ici. Si vous n'êtes pas, vous ne faites pas partie de ce cèpe, C'est le serment qui est produit par le sept. Mais si quelqu'un ne fait pas part de ce sept, donc il n'y a pas de salut, Christ dit, si je ne te lave, tu n'auras point de part avec moi. Si mon Pierre lui dit, Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête, Celui qui est lavé n'a besoin que de se laver les pieds pour être entièrement pur. Et vous êtes pur. Il dit, non pas tous. Parce qu'il y avait au milieu deux Judas Iscariot. Donc, le fait que c'est nécessaire, le fait que nous marchons dans ce monde et nous vivons dans un corps toujours déchu, et souillés par le péché, nous avons besoin tous les jours que le Seigneur lui-même continue à nous purifier. Les pieds représentent où nous marchons dans le monde. Et, pareillement ici, nous savons qu'il est attaché aux sept du vigneron, d'immonder et d'enlever les petites branches qui pourraient empêcher de produire le fruit. Mais le fruit ne dépend pas du sarment. Le fruit dépend du cèpe et du vigneron, c'est-à-dire le père et le fils, pour assurer notre réussite en tant qu'enfants de Dieu. tous comme il a dit en lavant les pieds, parce qu'il y avait Judas qui n'était pas méveilleux, mais ceux qui étaient véritablement attachés au Sept, vous avez déjà vu à cause de la parole que je vous ai annoncée. Il se réfère encore à son enseignement lorsqu'il lavait les pieds de ses disciples, Oh, quelle joie et rassurance de savoir que notre purité devant Dieu ne dépend pas de nos oeuvres et des exigences de la loi ou quelque oeuvre que ce soit que nous devons accomplir pour être régénérés ou bien sanctifiés ou bien justifiés. plus. Ça part de la manière cette vie vient toujours de la part du Sept. C'est pourquoi Christ dit plus tard dans ce chapitre, verset 4, Jean 15, verset 4, demeurez en moi et je demeurerai en vous. Demeurer en lui signifie simplement comme le savant ne cherche pas à s'en reste attaché au cèpe, là où Dieu l'a placé, parce que verset 4 dit comme le serment ne peut de lui-même porter du fruit. Notre justification devant Dieu ne dépend pas de nous-mêmes, imaginons que nous pouvons Vous entendez les prédicateurs dire, ah mais si seulement vous prenez votre décision pour Christ, alors il vous donnera la vie. Comment est-ce qu'un pécheur qui est mort dans ses péchés pourrait se donner la vie même pour prendre une décision? Encore, tout dépend du Seigneur. ne peut de lui-même porter du fruit s'il ne demeure attaché au cèpe. La réalité c'est qu'une fois attaché au cèpe, le serment ne peut jamais se détacher. Alors il dit ainsi vous ne le pouvez non plus si vous ne demeurez à moi. C'est pourquoi une fois que Christ Nous savons que c'est être attaché au Sept et bénéficier de cette union que le Vigneron, le Père, a ordonnée depuis l'éternité, que nous sommes sauvés. Et heureusement, ceux que Dieu a sauvés par la mort de son Fils, le Saint-Jésus-Christ, ne peuvent jamais Ici, je ne veux pas me presser pour continuer, mais voilà la base de cet enseignement que nous venons de voir, que tout le salut dépend du Seigneur Jésus, comme le serment dépend du vrai Seigneur. Et c'est le Père de Vignon qui a su que que ceux qui appartiennent à Christ sont aimés depuis l'éternité de Dieu. Et pour cela, rien ne peut nous séparer de Lui. Alors que le Seigneur bénisse cette parole que nous venons d'entendre. Amen.