
00:00
00:00
00:01
ប្រតិចារិក
1/0
de nous. Je vous invite à trouver dans vos bibles un thessalonicien, chapitre 5. Nous avons passé tout le mois de juin dans l'Épître aux Romains, chapitre 3. Ça fait plus de cinq semaines depuis que nous n'avons pas été ici en thessalonicien. Nous sommes presque à la fin, et à la fin de cette lettre, il y a des petites phrases, des petits commandements qui viennent un après l'autre, en forme staccato presque, et ça nous force à nous ralentir, parce que chaque phrase parle presque d'un sujet différent, et puis d'étudier ce thème dans toute la Bible. Quand vous faites des études vous-même de la Bible, il faut savoir qu'une étude profonde de la Bible, si je peux le décrire visuellement, une étude profonde de la Bible n'est pas forcément comme ça, où on reste dans le verset, mais où on va comme ça dans toute la Bible. Cherchez ce mot dans les autres passages, cherchez ce thème, ce sujet dans d'autres endroits où Dieu nous parle, car nous voulons interpréter la Bible par la Bible, et la Bible nous éclaire le chemin et nous fait comprendre la Bible. La Bible est elle-même son propre interprétation. Pour nous remettre un peu dans le sujet, j'aimerais reprendre au verset 12, où nous avons ces dernières recommandations. 1 Thessaloniciens 5, verset 12. Il dit, nous prions, frères, d'avoir de la considération pour ceux qui travaillent parmi vous, qui vous dirigent dans le Seigneur et qui vous exhortent. Ayez pour eux beaucoup d'affection à cause de leur œuvre. Soyez en paix entre vous. Nous vous en prions aussi, frères, Avertissez ceux qui vivent dans le désordre. Consolez ceux qui sont abattus. Supportez les faibles. Usez de patience envers tous. Prenez garde que personne ne rend à autrui le mal pour le mal, mais recherchez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous. Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse. Rendez grâce en toutes choses, car c'est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ. N'éteignez pas l'esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Examinez toutes choses. Retenez ce qui est bon. Abstenez-vous de toute espèce de mal Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entier que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps soient conservés irréprochables lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ, celui qui vous a appelé fidèle et c'est lui qui le fera. Voici la parole de Dieu Cet examen que nous sommes appelés à faire, au verset 21, doit aboutir à l'une des deux options suivantes. Il dit, retenez ce qui est bon et abstenez-vous de toute espèce de mal. Nous devons tout examiner afin de pouvoir soit retenir, soit nous abstenir des choses examinées. Alors, première chose que je veux faire, notre thème ici, notre texte, c'est juste cette phrase à la fin du verset 21. Retenez ce qui est bon. Et la première chose que je veux faire, c'est définir ce qui est bon. Qu'est-ce qui est bon ? Qu'est-ce qui est bon ? Alors, vous allez avancer pour moi ou c'est moi qui le fais ? Ah, je l'ai laissé là. Je vois pourquoi. que vous puissiez suivre. Qu'est-ce qui est bon ? Comment définir ce qui est bon ? Selon le dictionnaire biblique, parce que le mot bon vient de la Bible, c'est un mot grec, vous regardez dans le dictionnaire biblique ces mots grecs, le mot bon se rapporte à la satisfaction de normes ou d'attentes élevées en matière d'apparence, de nature ou de qualité. Quelque chose qui satisfait à une certaine norme. Et quelque chose qui est bon, sinon ce n'est pas bon. Alors, quelles sont ces normes ? La prochaine occurrence de ce mot dans la Bible est en Intimauté, chapitre 2, verset 3. Nous l'avons lu tout à l'heure. Ça dit que cela est bon et agréable où ? Devant Dieu, notre Sauveur. Référence probablement à Christ, ici. Donc, bon devant Dieu. C'est lui qui définit le bon. Dieu est la norme du bon. Hébreu chapitre 6, verset 5 parle de la bonne parole de Dieu. Quand vous lisez la parole de Dieu, elle est bonne. Jacques 2,7 parle de ce beau nom que vous portez. Ça parle du nom de Jésus. Et c'est le même mot ici, c'est traduit beau, mais c'est exactement le même mot, ce beau nom que vous portez. Quel beau nom nous chantons que celui d'Emmanuel, Dieu avec nous. Donc Dieu est la norme du bon. Et il faut le dire parce que nous vivons dans un monde où l'idée du bon est très fluide, l'idée du bien est très fluide. Moi, je définis pour moi ce qui est bien, et vous définissez pour vous ce qui est bien, mais selon le contexte dans lequel nous vivons, je n'ai pas le droit de vous dire ce qui est bien pour vous, et vous n'avez pas le droit de dire ce qui est bien pour moi. Ce bon en fait a autant de définitions que de personnes, mais pas selon le concept biblique de la parole de Dieu. Ce qui est bon est bon parce que Dieu le dit, et lui-même est la norme. parce que sa parole est bonne, parce qu'il est beau lui-même et bon. Mais dans le contexte de notre texte et même du Nouveau Testament, le bon concerne spécialement notre manière de vivre. Notre manière de vivre. Je vais juste vous lire quelques versets pour vous montrer cela. Où ce mot est utilisé, Matthieu 7, 14, 19, Jésus dit, tout arbre qui ne porte pas de bons fruits. Plusieurs fois dans les Évangiles, ça parle de bons fruits. Les fruits de la vie sont bons ou mauvais. Matthieu 26, les versets 6 à 10. Jésus est à Bethany dans la maison de Simon le lépreux. Il y a une femme qui s'approche de lui et elle amène un parfum à grand prix et elle va le répandre sur les pieds de Jésus. Elle va laver les pieds de Jésus avec ses cheveux. Elle est critiquée par le hôte et même par d'autres disciples. Jésus, verset 10, en étant aperçu, leur dit pourquoi faites-vous de la peine à cette femme, elle a fait une bonne action à mon égard. L'action est définie comme bonne, notre mot. Romansade 18, l'apôtre admet que j'ai la volonté mais non le pouvoir de faire le bien, ce mot, faire le bien. Romansade 21, je trouve donc en moi cette loi, quand je veux faire le bien ou le bon, le mal est attaché à moi. Vous voyez, c'est dans l'action, c'est dans le fruit, Ce dont le fait est de faire, de vivre. Romains 14, 21. Il est bon ou il est bien de ne pas manger de viande et de ne pas boire de vin et de s'abstenir de ce qui peut être pour ton frère une occasion de chute. 1 Corinthiens 7, verset 1. Je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point toucher de femme. 2 Corinthiens 13, 7 parle de pratiquer ce qui est bien. Et vous connaissez peut-être Galates 6, verset 9, qui dit ne nous lassons pas de faire le bien. C'est ce même mot. Faire le bien. car nous moissonnerons au temps convenable si nous ne nous relâchons pas. Dans notre texte, le bon concerne spécialement notre manière de vivre. Regardez le texte, c'est le contraste qu'il fait entre le bon et le mal. Interstallonicien 521. Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon et abstenez-vous de toute espèce de mal. Il faut s'abstenir. Ça parle du fait de faire nos actions, les fruits de notre vie. Donc, le bon pourrait être défini, comme je vous donne ici, comme une vie qui répond aux attentes de Dieu. Le bon. Une vie qui répond aux attentes de Dieu. Alors, il faut donc pouvoir discerner le bon. On l'a défini, c'est les normes de Dieu, c'est une vie qui correspond aux normes de Dieu. Mais comment trouver, comment discerner ce qui est bon ? Et encore, le contexte nous aide, parce que nous avons dit que ce sont des petites phrases, mais ces phrases sont liées les unes aux autres. Et on peut le dire comme ça. Il y a deux choses ici, verset 20, où il dit, ne méprisez pas les prophéties. La première chose qui est requise, c'est de valoriser l'écoute de la parole de Dieu. Il faut valoriser. Valoriser, c'est le contraire de mépriser. Il dit ne méprisez pas, donc le contraire serait valoriser. Valoriser l'écoute de la parole de Dieu. Les prophéties, c'est quand Dieu parle, et nous avons passé plusieurs semaines à discuter ce qu'est la prophétie dans le contexte du Nouveau Testament. Dans le contexte de cette lettre, je pense que les prophéties font référence en premier lieu à la proclamation de la parole de Dieu au sein de l'Assemblée, par des hommes que Dieu a choisis et qu'il a équipés pour enseigner le peuple. Reculez jusqu'au verset 12 de ce même chapitre, où il dit, dans le même élan, il est en train de dire, nous vous prions, frère, d'avoir de la considération pour ceux qui travaillent parmi vous, qui vous dirigent dans le Seigneur et qui vous exhortent. Il dirige en vous exhortant. La direction qu'il vous donne, c'est une direction d'exhortation, d'enseignement, de proclamation. Donc, il dit « ayez beaucoup d'affection à cause de leur œuvre ». C'est leur œuvre, c'est leur travail, c'est leur appel à faire cela. Dieu, dans toutes les époques, a choisi, il a équipé des hommes pour enseigner, pour instruire dans la parole de Dieu, et il dit avoir de la considération pour ces personnes, pas pour ce qu'ils sont eux-mêmes, mais pour leur ministère, pour leur œuvre. L'œuvre qu'ils ont est importante pour l'Église. Dieu a donné tout au long de l'histoire des hommes qui ont reçu ce don spécial pour comprendre la parole de Dieu, pour l'expliquer aux autres. Éphésiens 4, 11 à 16 parle de cela. Et il est juste, il dit, que ces hommes dirigent l'Église qui soit même jugée digne d'un double honneur, un Timothée V dix-sept dit. Et se mettre à l'écoute de la prédication de la parole de Dieu est une des meilleures manières d'apprendre à connaître la parole de Dieu et donc de progresser dans notre sanctification. une juste écoute de la parole de Dieu est peut-être le facteur le plus important pour certains de progresser dans la parole de Dieu. Et donc, il dit ne méprisez pas la prédication de la parole de Dieu, ne méprisez pas quand elle est proclamée. C'est pour ça qu'on a lu tout à l'heure, frère a lu, n'abandonnez pas donc même l'assemblée des frères. La lecture et la prédication de la parole de Dieu lorsqu'elles sont reçues dans l'humilité la foi apporte la maturité façonne nos pensées donc c'est dans la prédication mais aussi dans votre lecture personnelle nous devons aussi nous encourager les uns les autres avec la parole de dieu et je peux pas vous donner une liste de tout ce que j'ai mangé depuis le début de l'année j'ai du mal parfois me rappeler ce que j'ai mangé hier Mais ce que j'ai mangé, je vous promets, et ce que j'ai fait avec la force que j'ai reçue en mangeant, façonne ma vie physique et ma santé physique. Et c'est la même chose avec la vie spirituelle. Je ne peux pas vous donner une liste, même des choses que j'ai moi-même prêchées depuis le début de l'année. Mais ce que j'ai reçu dans mon esprit et dans mon cœur, et ce que j'ai fait avec ce que j'ai reçu, à façonner ma vie spirituelle. Et vous aussi. Et les gens qui sont amenés à droite et à gauche et sont instables dans leur vie, c'est souvent parce qu'ils ne reçoivent pas et ils ne digèrent pas comme il faut la parole de Dieu. Pour connaître ce qui est bon, il faut valoriser l'écoute de la parole de Dieu. Mon esprit, mon cœur, mon homme intérieur est façonné par ce que je déserte spirituellement et par ce que je fais avec ces aliments. Ce que nous devons faire nous est donné par Dieu dans ce texte. Il dit, après ces deux phrases négatives, à la fin du verset 19, n'éteignez pas l'esprit, Ne méprisez pas les prophéties, vous avez ce qui les contrebalance, mais examinez toutes choses. Et donc ça, c'est la deuxième chose qu'il faut faire. Il faut veiller à examiner tout ce qui se présente comme la parole de Dieu. L'idée ici, c'est que nous voulons discerner ce qui est bon. On va arriver... Ok, on a trouvé ce qui est bon. Comment trouver ? valoriser l'écoute de la parole de Dieu. Je dois m'ouvrir. Je ne peux pas trouver de moi-même ce qui est bon. Qu'est-ce que les juges disaient des Juifs à cette époque ? Que chacun faisait ce qui était bon à ses propres yeux. Non, on s'ouvre à la parole de Dieu sous toutes ses formes. Mais après, je dois veiller à examiner tout ce qui se présente comme la parole de Dieu. Parce que malheureusement, on peut suivre ce qui est bon, mais la chose nous est présentée comme étant la volonté de Dieu, la parole de Dieu. Et il vous suffit d'aller sur YouTube et vous verrez beaucoup de vidéos. Vous pouvez passer des heures et des heures à regarder des choses qui sont bonnes, mais aussi pas bonnes. de toutes les religions, de toutes les pensions. Il n'y a pas d'idée qui n'est pas sur la toile. Donc, il faut examiner toutes choses. L'exigence universelle de tout examiner. C'est ça qu'on a vu il y a cinq semaines. On a vu que tout le monde doit examiner. C'est un commandement adressé à toute l'Église. Tout le monde, même les enfants, doit commencer à examiner. Et puis, on doit tout examiner. Examiner toutes choses, tout enseignement ou doctrine, toute application ou pratique. puis tout le monde doit tout examiner à la lumière de toute la parole de dieu si vous regardez au début de chapitre 4 de cette lettre il dit au reste frère puisque vous avez appris de nous comment vous devez vous conduire et plaire à dieu et c'est là ce que vous faites nous vous prions et nous vous conjurons au nom du seigneur jésus christ et puis il dit dans le verset 2 vous savez en effet quel précepte nous vous avons donné de la part et du Seigneur Jésus. Donc nous examinons toutes choses, non pas pour savoir si c'est en phase avec notre époque ou si ça me semble juste ou correct, Mais en fait, ce qu'on cherche quand on examine, c'est est-ce que ça vient du Seigneur Jésus? Ça, c'est la question. Est-ce que ça vient du Seigneur Jésus Christ? Est-ce que ça vient de lui? Est-ce que c'est réellement le Seigneur Jésus qui nous dit ces choses? Et cet examen, lorsque c'est fait, devrait aboutir à l'une des deux options. Regardez votre texte à la fin du verset 21. Retenez ce qui est bon. abstenez-vous de toute espèce de mal. C'est-à-dire, il y a une réaction de notre part qui est requise. On ne peut pas recevoir quelque chose et dire, ah oui, ça, c'est bon. Comme on va peut-être au musée, on voit quelque chose de très beau et on admire. Non, la Bible ne nous est pas donnée juste pour admirer, sans rien faire de plus. Une action est requise. Il faut soit retenir, soit rejeter. C'est les deux options qui nous sont présentées ici. Donc nous devons tout examiner et soit retenir, si l'ayant examiné, nous avons discerné que c'est bon, soit nous abstenir, si nous avons détecté dans notre examen qu'il existe du mal. Donc ça, c'est la troisième chose. Il faut retenir ce qui est bon. On a défini ce qui est bon par Dieu lui-même. On a pu discerner maintenant ce qui est bon en ouvrant la parole de Dieu et en examinant toutes choses. Et maintenant qu'on le sait, Ce n'est pas automatique, mes amis. Il faut le retenir. Nous devons retenir le bon dans l'intention de le laisser façonner notre vie en Jésus Christ. C'est une image très forte qu'il nous ait donnée. Quelqu'un qui est vraiment, qui a ses mains, qui embrasse, qui tient. Vous avez vu des images, quelqu'un sur une falaise ou quelque chose, il commence à tomber et il tient parce que sa vie en dépend. Il ne peut pas relâcher jusqu'à ce qu'on vienne le sauver. Et ça, c'est l'image. Vous devez tenir, retenir ce qui est bon. En regardant ce verset dans le Nouveau Testament, nous découvrons que l'homme... L'homme non régénéré ne veut pas retenir le bon. Vous avez ici, devant vous, deux pierres, trois, cinq. Et il dit qu'ils veulent ignorer. C'est un synonyme avec exactement la même racine. que le mot retenir. Et ils veulent ignorer, en effet. C'est-à-dire, c'est le contraire ici. Ils veulent ne pas retenir. C'est l'idée d'oublier que des cieux existent autrefois par la parole de Dieu. La sommeur le traduit ainsi, mais il y a en fait le fait que ces gens oublient délibérément. Est-ce qu'on peut oublier délibérément, oui ou non? Certainement oui. Vous savez, c'est l'excuse universelle des enfants. Quand j'étais enfant, pourquoi tu n'as pas fait ça? J'ai oublié. Et si j'ai oublié, ce n'est plus ma... J'ai oublié, qu'est-ce que tu veux que je fasse ? J'ai oublié. Oui, mais je n'ai pas retenu. Je n'ai pas retenu. Et je voulais oublier. C'est comme le proverbe qui dit, ce qui entre par une oreille sort par l'autre. Avec la parole de Dieu, c'est souvent le cas. on entend des choses, des applications, on en parle. Regardez votre cœur, si vous êtes comme moi. Il y a des choses où je préfère n'y plus y penser. Et bien sûr, quand je n'y pense plus, j'oublie. Ce que je tiens très légèrement va facilement s'envoler. Ça me dérange un peu, donc je tiens comme ça, en espérant que ça passe dans les oubliettes et puis c'est parti. C'est une question de cœur et de désir. Mais c'est encore pire que cela, parce que nous trouvons ce même mot, c'est exactement le même mot, Romain, chapitre 1, 18, où ça parle de la colère de Dieu qui se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes. La colère de Dieu se révèle. On a parlé de ça récemment tout le temps. Dieu est en train de révéler sa colère. Ce n'est pas seulement futur. Et c'est contre des hommes qui retiennent injustement la vérité captive. C'est le même mot, ici. Ils retiennent, mais dans le mauvais sens. Au lieu de le retenir dans le cœur, ils vont le retenir sous les pieds. Ils retiennent captive la vérité. Et donc, vous avez des traductions, par exemple, certaines traductions qui disent qu'ils étouffent ainsi malhonnêtement la vérité. Ils entendent la vérité, ce n'est pas simplement qu'ils veulent l'oublier. Leur réaction est tellement émotionnelle et contre ces idées qu'ils veulent l'étouffer. Et on le voit dans notre culture, comme dans chaque époque. Parfois, c'est un sujet, parfois, c'est un autre. Aujourd'hui, c'est, parmi d'autres, l'idée que l'homme a été créé dans l'image de Dieu. Il a été créé mâle et femelle, etc. Ce sont des vérités que le monde veut étouffer. Parole de vie dit qu'ils empêchent la vérité d'agir. Le second 21 dit qu'ils tiennent la vérité prisonnière. Les gens du monde ne sont pas neutres, ils sont activement dressés contre la vérité. Vous leur parlez et tout de suite ils ont des arguments. Des fois, vous combattez cet argument, ils abandonnent l'argument et ils trouvent un autre. C'est frustrant de parler avec ces personnes. Pourquoi ? Ils cherchent un argument après l'autre parce que le problème, dans son fond, n'est pas l'argument. C'est pas comme s'ils vont dire un jour, « Ah, d'accord, je comprends. » Non, le problème, c'est une question du cœur et de la volonté. Ils ne veulent pas connaître ces choses. Donc, ils sont activement dressés contre la parole. Est-ce que vous pouvez trouver Luc, chapitre 8 ? Luc, chapitre 8, et je veux vous montrer que c'est la marque d'un vrai chrétien qu'il retient la parole. Luc, chapitre 8, Jésus donne la parabole du semeur. Et le semeur, il va planter la bonne semence dans quatre terres différentes. Et puis, quelque chose de différent se passe dans chaque terre. À partir du verset 11, il nous donne le sens, il l'explique. C'est une grâce, parce qu'il y a des paraboles où Jésus ne l'explique pas, et on se lève toujours avec des questions. Ici, nous avons l'interprétation. Luc 8, verset 11, c'est Jésus qui parle et dit, voici ce que signifie cette parabole. La semence, c'est la parole de Dieu. Ça, ça tombe bien, c'est dans notre contexte, retenir la parole de Dieu. Ne méprisez pas les prophéties, nous sommes à l'écoute de la parole de Dieu. La parole de Dieu, elle arrive dans le cœur. Et ceux qui sont le long du chemin, c'était une des terres, sont ceux qui entendent Et puis le diable vient et enlève de leur cœur la parole de peur qui ne croit et ne soit sauvée. Ils n'ont pas retenu, elle n'est même pas restée. Ils sont là, ils n'écoutent même pas peut-être le serment, mais dès que c'est fini, c'est parti. Ils ne vont jamais de toute leur vie repenser à ces vérités. Et puis verset 13, il y a ceux qui sont sur le roc, une autre terre. Ce sont ceux qui, lorsqu'ils entendent la parole Ils la reçoivent avec joie, donc il y a une réaction même, mais ils n'ont point de racine. Et donc, ils croient pour un temps et ils succombent au moment de la tentation. Dès qu'il y a la résistance, c'est là où on démontre qu'ils ne sont pas la bonne terre. Et puis verset 14, il y a ce qui est tombé parmi les épines, et ce sont ceux qui, ayant entendu la parole, s'en vont, et la laisse étouffée par les soucis, les richesses, les plaisirs de la vie, et il ne porte point de fruits qui viennent à maturité. Donc, pas de fruits. Il n'y a ici pas de salut. Il reste attaché un peu plus long, peut-être, que la deuxième terre, mais c'est peut-être plus graduel, c'est les difficultés de la vie, et ça les éloigne de la parole. Et puis verset 15, il y a ceux qui sont tombés dans la bonne terre. Je veux noter qu'il y a une seule terre qui est appelée bonne. Si on se demande qui sont les vrais chrétiens, est-ce que c'est dans la terre 1, 2, 3 ou 4, il y a une seule terre qui est bonne. Les autres ne sont pas de vrais chrétiens. Et ceux qui sont tombés dans la bonne terre, regardez le texte, ce sont ceux qui ont entendu la parole avec un cœur honnête, Et bon, et on trouve notre mot. Il l'a quoi? Il l'a retienne. Exactement le même mot. Vous pouvez le souligner et marquer un Thessalonicien 521b. Il l'a retienne et il porte du fruit avec persévérance. Ça c'est la marque de la bonne terre. ils retiennent la parole. On peut recevoir d'une certaine manière, on peut même avoir une réaction émotionnelle de joie sans pour autant être né de nouveau, sans jamais être la bonne terre. Et donc, Jean nous l'explique en 1 Jean 2, 19, il dit, ils sont sortis de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres, car s'ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous. Mais cela est arrivé afin qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres. Malheureusement, tous ne sont pas des nôtres. Et ça se démonte dans le long terme quand il y a certaines qui ne demeurent pas, qui ne retiennent pas avec persévérance. Mais ceux qui tombent dans la bonne terre sont ceux qui ont entendu la parole avec un cœur honnête et bon, la retiennent et portent du fruit avec persévérance. La persévérance dans la foi est un signe d'une foi authentique. Mais la persévérance ne veut pas dire la perfection. Un vrai chrétien retient toujours la vérité, mais il ne retient jamais toute la vérité. Et donc, nous pouvons dire, deuxièmement, que l'homme régénéré ne retient pas le bon automatiquement, c'est-à-dire sans effort de sa part, sans activité de sa part. si seulement j'aurais pu retenir tout ce que j'ai appris. Seulement. Imaginez la connaissance que j'aurai et que vous aurez. Je me rappelle le premier jour de ma classe, le cours sur l'hébreu, la langue hébreu, et le prof, qui se spécialisait dans la langue hébreu, il a dit, Bon, je vais vous dire que j'ai déjà oublié plus d'hébreux que vous allez apprendre cette année. Pour nous dire qu'il savait tout, mais il avait oublié, mais ne vous inquiétez pas, il connaissait beaucoup plus que nous. Et c'était certainement vrai. Ce n'est pas évident de retenir. Lorsqu'on apprend une nouvelle langue, ce mot veut dire ça, et puis, pouf, c'est parti. Et puis, dans le contexte spirituel, nous avons la chair qui nous combat, Et cela le rend encore plus difficile. Et c'est pourquoi le Saint-Esprit doit nous dire dans notre texte, retenez ce qui est bon. C'est un impératif. Il faut le faire. Il faut l'activité. Il faut que vous restiez accrochés. C'est une des plus grandes tristesses de la vie chrétienne qu'une vérité apprise n'est pas forcément une vérité acquise pour toujours. Et donc nous lisons dans la Bible, par exemple, Hébreu 12, verset 5, il dit « Vous avez oublié l'exhortation qui vous est adressée que ma des fils. Mon fils ne méprise pas le châtiment du Seigneur et ne perd pas courage lorsqu'il te reprend ». Il dit « Vous avez oublié l'exhortation ». Ça peut arriver pour nous. Hébert 13, versets 1 et 2 dit, persévérer dans l'amour fraternel, n'oubliez pas l'hospitalité. Il y a des choses qu'on peut faire du bien et puis on oublie de le faire. Hébert 13, verset 16, n'oubliez pas la bienfaisance et la libéralité car c'est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir. Il y a des moments dans notre vie, on a un certain élan et on se donne, on a cette libéralité, cette bienfaisance et puis on oublie. On peut perdre même notre premier amour pour le Seigneur. Cela explique le fait, cela a été expliqué par le fait que le croyant a en lui un vieil homme et un homme nouveau. Quand vous venez à Christ, il y a une bataille qui s'engage, une guerre même, qui s'amorce en nous. Éphésiens 4, 22 et suivant dit, dépouillez-vous, en même personne il va dire, dépouillez-vous du vieil homme et revêtez-vous de l'homme nouveau. C'est les mêmes personnes qui ont en elles, à la fois ce vieil homme corrompu par ses convoitises trempeuses et cet homme nouveau renouvelé par la connaissance de Christ. Il doit être toujours revêtu, revêtu, revêtu, renouvelé dans sa connaissance. Le vieil homme est décrit comme un corps de péché. Il a toutes ses membres, toutes ses affections, ses convoitises. Il ne faut pas obéir à ce vieil homme. Il faut plutôt la mortifier, la mettre à mort. Donc, il y a en nous cette guerre. Vous le sentez si vous êtes un vrai chrétien. Il y a cette guerre entre ces deux entités et cette guerre se passe dans la même personne. C'est-à-dire, c'est moi en qui cette guerre arrive. Il y a ce combat dans une seule et même personne. Et malgré cela, merci Seigneur, nous ne sommes pas condamnés. Après Romain VII, où il parle de cette guerre, il dit au chapitre 8 qu'il n'y a aucune condamnation pour ceux qui sont en Christ, malgré la guerre. Il ne faut pas penser que la guerre veut dire que je suis peut-être maintenant condamné. Non, ceux qui ne sont pas condamnés en Jésus-Christ ont quand même la guerre contre la chair. Mais cette guerre nous pousse à oublier. Le vieil homme, la chair, veut tout faire pour nous pousser à oublier ce qui est bon, à ne pas le retenir. Et donc, l'homme régénéré doit activement lutter contre sa chair pour retenir ce qui est bon. C'est ce qu'il est en train de leur dire quand il dit de retenir ce qui est bon. C'est une lutte. Il faut s'agripper à ces choses. Il faut activement lutter contre la chair pour retenir ce qui est bon. C'est trop facile juste de laisser partir les pensées. Vous savez, même en écoutant la prédication, je sais, vous êtes comme vous, c'est facile de laisser voler les pensées jusqu'au coin du monde. C'est encore plus dur de reprendre et de retenir ce qui nous a été enseigné hier. Trois fois on trouve ce mot en hébreu. Je vais vous lire les références. Hébreu 3.6. Mais Christ est comme fils sur sa maison, et sa maison c'est vous pourvu que nous... C'est ce mot. pourvu que nous retenions fermement jusqu'à la fin la confiance et l'espérance dont nous nous glorifions. Il faut le retenir fermement jusqu'à la fin. Il dit pratiquement la même chose au verset 14, hébreu 3, 14, car nous sommes devenus participants de Christ pourvu que nous retenions fermement jusqu'à la fin l'assurance que nous avions au commencement. Et chapitre 10, Verset 23, « Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. » Ça rejoint notre thème aujourd'hui. Il est fidèle et nous devons le retenir jusqu'à la fin. Pour aller au ciel, vous devez croire jusqu'à votre dernier souffle. Et quelle est la cause efficace de notre persévérance ? Est-ce que c'est nos propres forces qui vont nous aider à persévérer ? Parce que si c'est dans ma propre force que je dois persévérer jusqu'à la fin, je n'ai aucune assurance de mon salut. parce que je connais moi-même et je sais que juste une petite tentation, une petite épreuve peut me faire trébucher et tomber. Qu'est-ce qui me retient pour que je retienne ? Qu'est-ce qui prend ? Qui prend ma main pour que je prenne constamment la main de Dieu ? C'est un pierre cinq, j'aime bien ce verset. Je vous le donne ici, parce que nous avons ici les deux côtés. Nous avons ici la cause efficace de la persévérance, du croyant, et puis la cause instrumentale de la persévérance. Regardez ce texte, soit dans votre Bible, soit sur l'écran. 1 Pierre 1, 5, il parle aux chrétiens, il dit, « Vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut révélé dans les derniers temps. » Alors, on est gardé comment ? On est gardé par la foi. Et la foi, c'est nous qui l'activons, c'est nous qui croyons. C'est une activité de notre part. Mais nous sommes gardés par la puissance de Dieu. Vous voyez le côté divin et le côté humain ici ? Je suis gardé par la foi. Donc, il faut croire pour être sauvé, n'est-ce pas ? On ne peut pas être sauvé sans croire. Mais la foi elle-même est un don de Dieu, il dit même dans cette même lettre. verset 1 et 2, que vous avez reçu une telle foi, la même que celle des apôtres. Vous avez reçu une foi. Éphésiens 2, il dit, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas des œuvres en parlant aussi de la foi. Et cette foi, dans la longue durée, est aussi un don de Dieu. Nous sommes gardés par sa puissance, mais nous ne restons pas passifs, oisifs, indifférents. Nous exerçons notre foi, donc nous sommes sauvés par la foi, nous sommes gardés par la foi. Mais cette foi exercée est préservée par Dieu. C'est comme l'enfant qui met sa main dans la main de son papa, il dit « je tiens sa main », et le papa dit « oui, oui, oui, et je tiens aussi ta main ». Nous restons fermement agrippés au Seigneur Jésus par la foi, et lui, dans sa puissance et sa bonté, il reste fermement agrippé à nous. Le psalmiste dit, c'est toi qui m'as saisi la main droite. Nous sommes gardés par la puissance de Dieu ici. La puissance de Dieu est la cause efficace. La foi est la cause instrumentale. Nous sommes sauvés par la foi, mais par la puissance de Dieu. En effet, la Bible dit en éphésiens que Christ habite dans vos cœurs par la foi. Donc, sans l'exercice de la foi, Christ n'habite plus dans notre cœur. Mais cette foi est exercée grâce à la puissance de Dieu. Personne ne peut exercer la foi sans la puissance de Dieu. Il y réside, donc, Christ réside par le moyen de la foi. Éphésiens 3, 17. Et la foi, jusqu'à la fin, est indispensable, ce que nous avons vu en Hébreu 3, 6 et 14. Mais cette foi persévère grâce à la puissance efficace de Dieu. Pour donner l'autre côté, les causes instrumentales de la persévérance. La cause efficace, c'est la puissance de Dieu. C'est pour ça que Ce n'est pas une fois sauvé, toujours sauvé d'une façon indifférente. Mais une fois commencé à croire, toujours il croira, parce que la puissance du Saint-Esprit et de Dieu le pousse à continuer à croire jusqu'à la fin. Mais les causes instrumentales de sa persévérance, même si nous avons connu le Seigneur pendant 10, 30, 40 ans, demeurent la foi et la soumission. Pour terminer, je vous invite à trouver Jacques 1,18. C'est avec cette pensée-là que nous allons clore. Jacques 1,18. J'espère que ce sera très pratique pour nous. Il y a un chant qu'on chantait à Saint-Denis, croire, obéir, et ça résume notre réponse. Pour agripper, pour retenir, comment le faire pratiquement ? Croire. obéir à ce qui est bon. C'est la foi et la soumission. Dès qu'on résiste à l'intérieur, à quelque chose que Dieu nous dit, nous ne retenons plus. Et Jacques 1, verset 18, dit « Dieu nous a engendrés selon sa volonté ». Nous sommes sauvés par sa volonté. par la parole de vérité, c'est l'instrument, c'est la cause instrumentale, c'est sa parole, la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Dieu, afin que nous soyons les prémices de ses créatures. Et puis sautez jusqu'au verset 22. Si nous sommes engendrés, selon sa volonté, par la parole de vérité, si nous sommes des nouvelles créations... Verset 22 dit quoi ? de faire quoi avec la parole qui nous a engendré. Elle nous a donné vie et maintenant nous devons mettre en pratique la parole. C'est comme il va dire aux Philippiens, il dit, mettez en oeuvre votre salut avec crainte et tremblement. car c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire. C'est la même chose que nous avons vu en Alain Pierre, nous mettons en pratique que ça c'est la foi, parce que c'est Dieu qui produit en nous le vouloir et le faire. Ici, il dit dans l'autre sens, Dieu a produit quelque chose en vous, donc maintenant vous mettez en œuvre votre salut, ou mettez en pratique, verset 22, la parole, et attention ici, ne vous bornez pas à simplement quoi ? l'écouter c'est à dire vous l'écoutez puis ça s'arrête là attention ne faites pas ça parce que si vous faites ça vous vous trempez vous même par de faux raisonnements si quelqu'un versé 23 écoute la parole de dieu et puis il ne met pas en pratique c'est dire il ne retient pas ce qui est bon Retenir ce qui est bon, c'est de croire et de la mettre en pratique. Eh bien, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel et qui, après s'être regardé, s'en va et oublie aussitôt comme il était. Et ça, c'est facile à faire. Surtout pour les hommes, je crois. Mais, verset 25, regardez-le. Celui qui aura Plongez les regards dans la loi parfaite. Ne méprisez pas les prophéties. Valorisez l'écoute de la parole de Dieu. Plongez les regards dans la loi parfaite de Dieu, la loi de la liberté. Et puis, qui aura persévéré, n'étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l'œuvre, c'est retenir la parole de Dieu, retenir ce qui est bon. Celui-là sera heureux dans son activité. Est-ce que vous manquez la joie ? dans votre vie. Peut-être c'est aussi simple que cela. Vous entendez ce qui est bon, vous croyez ce qui est bon, vous l'acceptez comme bon, mais vous ne la retenez pas. Vous ne la mettez pas en pratique. Les causes instrumentales sont la foi et la soumission, croire, obéir. Et posez-vous la question aujourd'hui même, quand vous rentrez chez vous, Seigneur, qu'est-ce qu'il faut que je crois par rapport à ce culte ? On a parlé plusieurs fois. Qu'est-ce que tu veux que je crois, que j'accepte, que je change ma pensée ? J'accepte comme vrai, véritable. Et puis, on peut dire comme on dit d'autres dans l'écriture, que veux-tu que je fasse ? Celui-là, celle-là sera heureux ou heureuse dans ce qu'il fait. Seigneur, nous te louons. de ce que nous avons entre nos mains, la parole de la vérité. Une parole qui, grâce à l'œuvre de ton esprit, peut nous engendrer et nous donner la vie spirituelle. Et nous confessons, en tant que des vrais croyants, que trop souvent, Lorsque nous venions en contact avec ta parole, lorsque la parole est semée dans nos cœurs, elle est aussitôt oubliée. Et ce phénomène qui arrive dans la parabole arrive même dans nos vies de chrétiens, parce qu'il y a des vérités que nous recevons et puis elles sont étouffées parce que la vie devient trop difficile. Les responsabilités deviennent trop grandes et donc on se permet que la parole de Dieu soit étouffée. Ô Seigneur, peut-être qu'il y a quelqu'un comme ça, qui à cause de la pression de la vie, de toutes les affaires dont il est affairé, a permis que ta parole soit étouffée. Elle n'a plus la place qu'elle avait avant. J'imagine que cette personne sait ressent la joie qui n'est plus là. Nous prions qu'aujourd'hui soit un jour de repentance, un jour où nos priorités sont réajustées, que la parole de Dieu devient plus nécessaire même que notre pain quotidien, que nous vivions de ta parole et pas cherchés à vivre des autres choses. et ne nous laisse pas être des auditeurs oublieux.
Retenez ce qui est bon
ស៊េរី 1 Thessaloniciens
លេខសម្គាល់សេចក្ដីអធិប្បាយ | 713211359277109 |
រយៈពេល | 46:50 |
កាលបរិច្ឆេទ | |
ប្រភេទ | ការថ្វាយបង្គំថ្ងៃអាទិត្យ |
អត្ថបទព្រះគម្ពីរ | ថែស្សាឡូនីច ទី ១ 5:21 |
ភាសា | បារាំង |
បន្ថែមមតិយោបល់
មតិយោបល់
គ្មានយោបល់
© រក្សាសិទ្ធិ
2025 SermonAudio.