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ប្រតិចារិក
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Bien, prenons nos Bibles et regardons ensemble de nouveau dans l'Évangile selon Jean, le chapitre 6. Et mon texte aujourd'hui se trouve à partir du verset 60 jusqu'à 71, Et le titre est simple. J'ai intitulé cette étude « Une parole dure ». Ceux qui nous entendent prêcher l'Évangile de la grâce souveraine de Dieu en Jésus-Christ, souvent en entendant ce message, quoique c'est le message de la grâce, ils disent « c'est une parole dure ». Et en cela, ce n'est pas une nouvelle expression, nous voyons cela dans plusieurs parties aussi de la Bible, et surtout au sujet des enseignements du Seigneur Jésus-Christ lui-même. En écoutant les messages du Seigneur qu'il annonçait, lorsqu'il marchait sur cette terre, les gens disaient souvent « c'est une parole dure Bien comme les disciples-mêmes ont réagi en disant « Qui peut alors être sauvé ? » Et la réponse que Christ donne, c'est qu'avec l'homme c'est impossible. Si nous prêchons un salut qui dépend de l'homme, nous prêchons un salut impossible. parce que même avec ses meilleurs efforts, l'homme ne peut pas atteindre à la justice et à la sainteté que Dieu lui-même exige pour que les pécheurs soient sauvés. Alors, on peut peut-être poser la question, donc, où est l'offense en prêchant la grâce de Dieu ? Parce que lorsque nous prêchons la grâce souveraine de Dieu en Jésus-Christ, nous prêchons que le salut est véritablement un don de Dieu et sans condition placé sur les hommes, et donc où est l'offense ? L'offense est dans le fait que c'est Dieu qui choisit, c'est Dieu qui décide d'avance qui sont ceux qui doivent être Voilà ce que les gens trouvent comme dur, l'enseignement de la grâce de Dieu. Mais lisons ici, dans Jean chapitre 6, à partir du verset 60, où Christ dit ici, ou bien c'est dit, plusieurs de ses disciples, après l'avoir entendu dire Cette parole est dure, qui peut l'écouter ? Jésus, sachant en lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit « Cela vous scandalise-t-il ? Et si vous voyez le Fils de l'homme monter haut, où il était auparavant ? » C'est l'esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien. les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point, car Jésus savait dès le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient point, et qui était celui qui le livrerait. Et il ajouta, c'est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi si cela ne lui a été donné par le Père. Et notez ici le verset 66, Dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent et ils n'allaient plus avec lui. Jésus donc dit aux douze, Et vous ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? Simon-Pierre lui répondit, Seigneur, à qui irons-nous ? A qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Et nous avons cru et nous avons connu que tu es le Christ, le Saint de Dieu. Jésus leur répondit, n'est-ce pas ? l'un de vous est un démon. Il parlait de Judas Iscario, fils de Simon, car c'était lui qui devait le livrer, lui l'un des douze. Alors, pourquoi cette parole semble si dure, même pour les disciples ? Lorsque je prêche ce message de la souveraineté de Dieu en Jésus-Christ, et il y en a qui répondent immédiatement, mais je ne vois pas le problème, c'est ce qui est écrit dans les Écritures, donc où est le problème ? Les gens qui raisonnent comme ça, ça m'indique déjà qu'ils n'ont pas bien compris le message Encore, c'est qu'ils ont peut-être embrassé ce message intellectuellement, mais en ce qui concerne la révélation du Christ au cœur, ils n'ont pas encore saisi l'ampleur ou le poids de ce message, parce que si quelqu'un reçoit réellement ce message de l'Évangile, ça pèse d'abord sur le cœur. parce que c'est un message adressé aux pécheurs qui imaginaient peut-être au départ qu'ils avaient accès à Dieu, au salut, même par la grâce. Mais maintenant d'entendre que cela ne dépend pas de nous, mais ça dépend de Dieu qui fait miséricorde à qui il fait miséricorde et qui fait grâce à qui il veut, Donc, au moins, les disciples étaient honnêtes dans leur réaction. Et voilà ce que je cherche quand je prêche l'Évangile. Ce n'est pas que je voudrais que les gens embrassent ce message ou ces doctrines simplement parce que je les prêche, non. On peut intellectuellement embrasser les doctrines de la Bible qui exalte le Seigneur Jésus et qui met l'accent, met l'accent sur sa grâce intellectuellement, sans qu'il n'y ait d'abord en nous cette œuvre de grâce, par l'esprit de grâce. Alors, au moins ici les disciples étaient en train de dire quand même la vérité, cette parole est due. Qui peut l'écouter ? Nous savons que si Dieu lui-même ne fasse une œuvre de grâce dans le cœur des auditeurs, personne ne peut l'écouter. Les hommes resteront toujours endurcis dans leur péché. C'est ce que Ésaïe lui-même a exprimé à son époque dans le livre d'Ésaïe, chapitre 53. Il dit qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l'Éternel ? Voilà la question, qui a cru ? Et on peut peut-être poser la question aujourd'hui parce que nous qui prêchons le message de la grâce de Dieu, je sais que personnellement je prêche sept fois dans la semaine au moins à plusieurs auditeurs, Mais quand on regarde le résultat du point de vue du nombre, je dois dire qui a pu, je dois poser la même question, c'est véritablement une parole dure, même impossible pour des pécheurs d'entendre et de recevoir tant que Dieu lui-même ne révèle pas Christ au cœur. Alors, nous devons être conscients de cela, ce n'est pas un message populaire. Et si nous voulons prêcher ce message de la grâce de Dieu en Jésus-Christ, tel que c'est révélé dans les Écritures, nous pouvons anticiper de l'opposition. Ils ont même opposé le Seigneur Jésus. Donc, Si les gens se sont opposés à lui, qui sommes-nous de croire qu'ils ne vont pas s'opposer à nous ? Donc, nous sommes appelés, en prêchant ce message révélé dans les Écritures, appelés à une vie difficile en ce qui concerne la satisfaction de nos auditeurs. ouvre cette parole et je prêche, des gens seront offensés. Et souvent, c'est par leur réaction, parce que même si nous savons que la Bible est vraie et que le salut n'est pas la grâce de Dieu en Jésus-Christ seul, désire toujours avoir quelque chose à faire, quelque chose à contribuer. Voilà l'orgueil du cœur qui est une manifestation de la dépravation du cœur et de la rébellion du cœur parce que l'homme veut simplement son devoir, quelque chose à faire pour dire qu'il a pu contribuer au salut. Mais le salut de la Bible, et le salut qui rend toute la gloire à Dieu en Jésus-Christ, toute la gloire. On peut peut-être m'accuser à la fin de ma vie d'avoir fait faille en beaucoup de choses, parce que je suis pécheur, mais ce qu'on ne peut pas dire de moi ou bien m'accuser d'avoir fait, c'est d'avoir donné trop de gloire au Seigneur Jésus-Christ. On ne peut pas donner trop de gloire au Seigneur Jésus. D'ailleurs même, je n'arrive pas à lui donner la gloire comme il se doit, même à travers mes prédications, parce que je suis simplement un pécheur. serviteurs qui, par la grâce de Dieu, tentent de prêcher cette parole pour l'unique gloire du Seigneur Jésus, mais je n'arrive pas à le faire comme il est digne. Et je dois dire que tous ceux qui sont des prédicateurs de Christ diront la même chose, je suis sûr. Mais revenons ici dans Jean chapitre 6, et à partir du verset 60, en ce qui concerne ce message comme une parole due. Premièrement, c'est due parce que la parole de Dieu sera toujours contraire à ce que les pécheurs veulent ou peuvent entendre. La chair lutte contre l'esprit. Et si tout le monde pouvait saisir cette parole, donc, le salut de Dieu ne serait pas nécessaire, parce qu'il s'agissait simplement que les hommes entendent, et voilà, c'est si simple à comprendre, et voilà, ils embrassent et puis c'est fini. Mais la foi n'est pas comme ça. Ici, le mot disciple, dans le verset 60, signifie simplement quelqu'un qui apprend, un apprenti, Il y a beaucoup de gens qui sont apprentis, qui n'arrivent pas à maîtriser le métier dont ils sont apprentis. Et je dois dire qu'il y a beaucoup d'apprentis dans le monde. Il s'agit de ceux qui font profession de connaître Christ, basés sur certaines idées qui leur ont été transmises, mais ils restent toujours dans les ténèbres, dans l'aveuglement. Et avec le temps, ça devient évident qu'ils étaient simplement des apprentis qui n'ont jamais maîtrisé le sujet. Et c'est pourquoi nous lisons ici plusieurs de ses disciples. Il ne s'agit pas simplement ici des douze qui le suivaient, mais même parmi les douze, comme Christ le dit, il y avait un d'eux qui était un démon. Ce n'était pas évident la question quand Christ a dit que quelqu'un allait le trahir, ils ont posé la question « est-ce moi ? ». Personne ne soupçonnait que c'était Judas. Voilà jusque quel point les gens peuvent de l'extérieur faire une profession de foi et tromper d'autres qui sont à côté, mais non pas le Seigneur Jésus. Ils savaient qui était celui qui devait le trahir, même si les autres ne le savaient pas. Mais parmi ses disciples, c'était un nombre même plus grand que cela, c'était écrit à la fin dans le verset 66. Dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent et ils n'allaient plus avec lui, à cause de cette parole due. Alors, on peut se demander, mais est-ce qu'ils étaient alors des véritables disciples qui maintenant se sont retirés, donc ils ont perdu le salut? Non. Ils étaient des disciples simplement par profession. Ils étaient des apprentis. Ils s'accrochaient de Christ pour un moment et ils ont été enseignés par lui, c'est comme des étudiants, nous savons que beaucoup d'étudiants se présentent et qu'ils s'assoient, mais rien n'entre dans leur cerveau et finalement, ils s'en vont. C'est comme ça, beaucoup, même de ceux à qui nous prêchons. Donc, nous ne pouvons pas nous fier des signes extérieurs lorsque nous prêchons. À travers les années, je dois dire que beaucoup qui sont venus m'écouter pendant un certain temps, à certains points des messages, même des points très forts, on leur entend dire Amen, que voilà, c'est comme ça, Amen. Mais cela ne veut pas dire que cette parole est véritablement entrée dans leur cœur. Il y a encore des exemples des gens, même certains qui étaient pendant un certain temps des dirigeants auprès de moi, qui, après un certain moment, maintenant, c'est comme la lumière s'est allumée dans leurs pensées et ils ont vraiment entendu ce que j'étais en train de prêcher et ils se sont fâchés. Ils disent, ah bon, donc c'est ça que vous croyez. Mais ce n'est pas que je le crois, c'est ce que dit la Bible. Donc, ici, dans le verset 60, ses disciples, tu dois dire « étant éveillés », mais non pas « régénérés », parce qu'après, c'est écrit que la plupart se sont retirés pour n'aller plus avec lui. Donc, cette parole est dure, qui peut l'écouter ? Ils étaient maintenant éveillés, mais en fin de compte, ils préféraient les ténèbres à la lumière. C'est comme si on rentre dans une chambre où les gens dorment et on allume maintenant la lumière et ils sont toujours en train de dormir, ils ne veulent pas de la lumière. Ils disent non, non, non, il faut éteindre. C'est comme ça, beaucoup qui entendent, la prédication de l'Évangile, et pour eux, c'est une parole due. Le mot « due », ici, dans le verset 60, signifie ce qui offense, ce qui est désagréable, ou bien ce qu'ils ne pouvaient pas supporter. Dans le contexte, certains ont compris que cela signifiait difficile à comprendre, mais cette signification ne convient pas à la connexion. Ce n'est pas que la parole est difficile à comprendre, mais plutôt c'est difficile à l'homme d'admettre ou bien d'accepter ou recevoir, et cela à cause de la rébellion du cœur. Quand ils disent « qui peut l'entendre patiemment, sans réagir. Et souvent, c'est ce que je dis, c'est pourquoi Dieu a ordonné la prédication de l'Évangile comme le moyen pour les pécheurs d'entendre l'Évangile et non pas la discussion ou bien le débat. Parce que dans les discussions ou les débats, les gens ont toujours quelque chose à dire. Mais dans la prédication, il faut que les gens se taisent et il faut que seulement la parole de Dieu, comme nous sommes en train de faire maintenant, la parole rentre dans nos cœurs et que nous soyons attentifs à cette parole. Mais quand on retourne dans le contexte de ce passage dans Jean 6, pour savoir quelles étaient les doctrines, enseignements enseignée par Jésus, qui était si offensante, semblant à une parodie. Premièrement, c'est le fait que Christ se présentait comme supérieur à Moïse. Et nous voyons la même chose aujourd'hui. Ceux qui sont attachés à la loi, comme s'il y a encore une partie de la loi qu'ils ont besoin d'accomplir, Lorsqu'on leur prêche que non, la loi a été satisfaite par le Seigneur Jésus et il y a en lui, le Seigneur Jésus maintenant, quelqu'un de plus grand que Moïse ou que la loi. Ils sont offensés parce qu'ils ont suivi les enseignements de leurs prédicateurs durant des années qui leur disaient que non, bien vrai, Christ est venu accomplir la loi, mais c'est à nous maintenant de suivre dans ses pas. Donc, les hommes prédicateurs présentent toujours la Loi comme rival avec le Seigneur Jésus. Tantôt on est dans la Loi, en train de suivre, tantôt on court vers Jésus. Et voilà comment ils prêchent. Mais cela n'est pas la doctrine du Christ. Dans la doctrine du Christ, telle que c'est révélé dans les Écritures, la gloire revient à Christ seul. Il n'est pas venu pour être l'égal de Moïse, mais non, de remplacer Moïse en satisfaisant cette loi que Moïse lui-même ne pouvait pas suivre. C'est pourquoi dans Jean chapitre 1 et le versets 16 et 17 au début de cet évangile, l'Esprit de Dieu a dirigé Jean à écrire et nous avons tous reçu de sa plénitude, c'est-à-dire la plénitude du Seigneur Jésus-Christ. Et notez, grâce pour grâce. Ça prend la grâce de Dieu de recevoir la grâce. Et si vous ne croyez pas à cela, la prochaine fois que quelqu'un veut vous faire un don, par exemple, il faut noter comment d'habitude vous réagissez. Quelqu'un veut vous faire un don et vous dit que c'est sans condition. Mais qu'est-ce que vous dites? Ah, il faut que je fasse quelque chose en retour pour que l'autre sache que je suis vraiment à la gratitude pour ce qu'ils ont fait. Ça, ce n'est pas la grâce. La grâce, ça prend la grâce pour recevoir la grâce. Et c'est la même chose en ce qui concerne Christ que nous avons tous reçu et rentrer de nouveau dans les épines des œuvres en pensant qu'il reste quelque chose en ce qui concerne la loi pour nous d'achever. Verset 17 de Jean 1 dit « Car la loi a été donnée par Moïse » et c'était nécessaire. Moïse représente la loi de Dieu. Nous ne pouvons pas saisir ou comprendre la nature de la grâce de Dieu en Jésus-Christ sans comprendre l'effet de la loi. La loi n'a jamais été donnée comme un moyen de salut. La loi a été donnée pour nous condamner davantage, afin que nous nous désespérons entièrement dans nos efforts pour gagner le Le salut, il n'y a rien en nous qui pourrait vraiment nous amener auprès de Dieu. Mais la grâce, c'est écrit, et la vérité sont venues par Jésus-Christ. La grâce et la vérité. Si vous voulez savoir où se trouve la grâce de Dieu, c'est dans Jésus-Christ. Si vous voulez savoir où est la vérité, la vérité, on ne peut pas départager la vérité en portions. et dire que voilà, j'accepte cette vérité, mais non pas l'autre, non, la vérité, toute la vérité de Dieu étant Jésus-Christ. Mais voilà pourquoi les gens sont offensés, surtout quand vous prenez la Bible et surtout l'Ancien Testament, et au lieu de prêcher la Loi, maintenant vous prêchez Christ. Les gens sont étonnés. Mais cette Bible que nous tenons dans nos mains est une autobiographie du Seigneur Jésus-Christ. Ça concerne le Seigneur Jésus. Et pour cela, beaucoup trouvent ça dur, parce qu'ils sont habitués à penser que non, l'Ancien Testament, c'est la morale, voilà comment nous devons vivre, c'est une vie pratique, un livre pratique, et le Nouveau Testament, voilà, cela concerne le Seigneur Jésus. Non, c'est toute la Bible. parce que c'est Christ, même Moïse a dit ça, que le jour devait venir où Dieu allait susciter parmi les frères un autre prophète comme lui. Mais Moïse n'a pas dit il faut nous écouter tous les deux, il dit écoutez-le. Parce que quel que soit le nombre d'années qui ont passé et les prophètes, que le Seigneur l'a suscité. Lui-même, il l'a dit dans l'Épître aux Hébreux et le chapitre 1. « Après avoir autrefois à plusieurs reprises et de plusieurs manières parlé à nos pères par les prophètes, Dieu dans ses derniers temps nous a parlé par le Fils. qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés, et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts. Donc voilà que nous voyons que donné par Moïse et les prophètes, mais s'agissait toujours du Seigneur Jésus-Christ. Et pour cela, les gens sont offensés, moi aussi, à travers les années, en prenant les passages de l'Ancien Testament et ayant comme seul but de prêcher le Seigneur Jésus. Après, le message, d'autres viennent me voir pour dire, oui, mais est-ce qu'il n'y a pas d'autres choses d'important dans ces passages-là. Pourquoi c'est toujours Christ, Christ, Christ ? Je dois dire que ceux-là sont encore dans l'enveglement. Et l'esprit ne leur a pas encore donné les oreilles pour entendre, autrement ils ne pouvaient jamais réagir de cette manière. Donc voilà pourquoi c'est une parole dure pour certains. Parce que Christ est supérieur à Moïse, à Israël, aux anges, aux traditions des hommes, aux dénominations, c'est Christ seul qui est digne de toute la gloire. Mais le deuxième point d'offense, je dois dire, et pourquoi cette parole est dure, c'est que c'est Dieu qui sauve tout ce qu'il a choisi, et cela seulement. Il y en a qui disent oui, j'accepte que c'est Dieu qui sauve et qu'il a ses élus, mais que dire si quelqu'un désire réellement être sauvé, mais il n'est pas un de ces élus-là. Alors, est-ce que Dieu ne les accepte pas? Mais la réponse à cela est simple, c'est qu'il n'y aura jamais quelqu'un parmi les pécheurs qui va désirer le salut de Dieu, c'est-à-dire le salut tel que Dieu désigne ce salut. Il n'y a personne qui ne désirera ce salut si Dieu d'abord lui a donné ce désir. Donc, le désir, c'est la preuve que l'Esprit de Dieu est déjà en œuvre. Mais si vous trouvez quelqu'un qui dit, oui, mais je désire le salut, seulement je ne désire pas le salut de la manière que vous êtes en train de l'annoncer, voilà un problème. Parce que si j'annonce le salut tel que c'est révélé dans les Équitudes, mais que vous ne croyez pas à ce message, donc cela veut dire que vous êtes encore dans l'endossissement du cœur. Et si Dieu vous laisse Dans cet état, vous n'aurez jamais le salut. Christ lui-même a dit cela dans ce même chapitre. Nous avons passé assez de temps dans le chapitre 6, mais il ne faut pas que nous oublions ce que nous avons déjà étudié dans Jean chapitre 6 et le verset 36. Christ a dit « Je vous l'ai dit, mais vous et vous m'avez vu et vous ne croyez point. » Ça, c'est en réaction aux enseignements du Seigneur Jésus lui-même que les gens ont entendu ce message sorti de ses propres lèvres, de sa propre bouche, mais qui n'ont pas cru. Est-ce que cela veut dire que les hommes étaient plus puissant que même le Seigneur Jésus ? Non. Cela veut dire que, dans la volonté de Dieu, ils ont entendu les paroles de Christ, mais Dieu, dans sa souveraineté, a laissé cela à leur sens préprouvé. Dieu n'est pas obligé à sauver qui que ce soit. Alors, Christ leur dit la vérité. Vous m'avez vu. Il y en a qui disent aujourd'hui, ah mais si le Seigneur Jésus pouvait quand même revenir et marcher dans nos rues comme il a fait au premier siècle, alors il y aura un grand nombre de gens qui vont maintenant croire en lui. J'imagine les prédicateurs mondains qui aiment les croisades. ayant cette possibilité d'inviter le Seigneur Jésus prêché à leur croisade et ils imaginaient que s'ils pouvaient simplement se présenter. Mais il y avait des foules autour du Seigneur Jésus à l'époque, lorsqu'il marchait sur cette terre. Mais plus les foules se rassemblaient auprès de lui, plus il faisait cette distinction. entre ceux qui le suivaient simplement pour des raisons personnelles, et non pas parce qu'ils étaient attirés par l'Esprit, et ceux qui étaient véritablement avis que l'Esprit de Dieu était en train d'attirer. Donc, on peut se demander, mais comment faire cette distinction ? Ici, dans le verset 37 de Jean 6, Christ a dit « Tous ceux que le Père me donne, viendront à moi. Et le sens là, c'est qu'ils viendront, quels que soient les obstacles, ils viendront, quelle que soit la difficulté dans le cœur de recevoir ce message, puisque c'est l'Esprit qui les attire, ils viendront. Épousera, il dit, je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. Donc, celui qui vient de la manière que c'est écrit dans les Écritures, à Christ, dans la foi et la répandance, c'est évident que c'est l'Esprit de Dieu qui est déjà à l'œuvre en cela, autrement il ne se serait jamais venu. Donc, ils étaient offensés par cela, jusqu'au point, comme nous avons vu, ici vers la fin de ce chapitre, Jean 6. Lorsque Christ a répété cela dans le verset 65, c'est pourquoi je vous ai dit que « nul ne peut venir à moi si cela ne lui a été donné par le Père ». Voilà l'offense, parce que les gens veulent que le salut soit disponible à tous. Mais dès que Adam a chuté, donc le procès juridique était déjà fini. C'est qu'en lui, toute sa race était maintenant condamnée. C'est fini. Donc, pour Dieu maintenant de faire grâce, étant le juge suprême, il fait grâce à qui il veut. Voilà ce que À cause de cela, nous voyons dans le verset 66, « Dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent et ils n'allaient plus avec lui. » Je dois dire qu'aujourd'hui, si nous insistons sur ce point de la souveraineté de Dieu, de l'élection de sa grâce, et que le salut est en Jésus-Christ seul, et que c'est Dieu qui a déjà fait son choix, que le choix ne dépend pas de l'homme, allez voir beaucoup tourner le dos et s'en aller parce qu'ils vont dire ah mais si c'est ça donc je vais aller quelque part où on me prêche l'importance de ma volonté, le libre arbitre. C'est pourquoi c'est populaire. Ce n'est pas parce que c'est la vérité mais l'homme préfère croire Et donc, nous voyons ce qui était le point d'offense. Mais troisièmement, cette parole, je dois dire, était due parce que Christ s'annonçait comme le père de vie, comme celui qui devait venir du ciel. Il y en a qui aiment parler du Seigneur Jésus comme un homme de bien, ils aiment parler de lui comme un prophète de Dieu ou un serviteur de Dieu, mais dit « Dieu dans la chair ». Voilà encore l'offense de cette parole. Comment expliquer que Dieu, qui est infini, éternel, a pris chair ? Il faut dire qu'il y a beaucoup de gens dans le monde qui n'acceptent pas cette doctrine, mais rien de nouveau. Même aujourd'hui, en Israël, si vous allez prêcher ils vont cracher sur vous, ils vont vous accuser de blasphème. Je sais que c'est vrai parmi les Juifs, c'est vrai parmi les pays musulmans. Les musulmans, selon le Coran, croient que le Seigneur Jésus était un homme de bien et même un des prophètes de Dieu. Mais dès qu'il est le prophète, ils disent non, ça c'est réservé à Mahomet, Il n'accepte pas que Christ soit Dieu dans la chair. Je me souviens quand j'étais encore à Guéau, en Côte d'Ivoire, je parlais à un musulman pour lui expliquer que le Seigneur Jésus étant le Fils de Dieu était Dieu dans la chair. Et il s'est retiré et il m'a dit En autre voie, ah, je vois le diable autour de vos lèvres. Vous êtes en train de parler maintenant selon le diable. Il m'accusait d'être le diable parce que je disais que le Seigneur Jésus n'était autre que Dieu dans la chair, mais s'il n'est pas Dieu, donc nous ne devons pas l'adorer, autant la Bible dit de l'adorer. Lui-même, il a dit que nul ne peut venir au Père si ce n'est pas lui. Et s'il n'est pas Dieu, cela veut dire le salut n'est pas en lui, parce que le salut est en Dieu seul. Mais tout ce qu'il faisait, par ses miracles, en guérissant les gens, c'était de démontrer ce pouvoir, non seulement de guérir physiquement, mais de guérir spirituellement. Et donc, sans qu'il ne soit Dieu, donc il n'y a pas de salut. Donc, de l'ordre dit, qu'il était le Père descendu du ciel, voilà ce qu'ils ont trouvé dur de comprendre. Mais c'était un mystère. Comment lui, qui était auprès de son Père depuis l'éternité, maintenant est venu dans la chair, est marché dans la chair sur cette terre, et il a donné sa vie à la croix dans la mort. Ce n'est pas Dieu qui est mort, mais payer la peine que la loi exigeait afin que les pécheurs maudits que nous sommes soient sauvés. Mais c'est une parole dure. Mais plus que ça aussi, c'est lorsque Christ leur a dit qu'il fallait manger sa chair. Voilà ce qu'ils ne comprenaient pas. Voilà la parole dure. Parce qu'il leur a dit que si quelqu'un ne mange de sa chair, il n'a pas la vie éternelle, Dans le verset 54, vous mettez ça dans le positif. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle et je l'ai ressuscité au dernier jour. Vous pouvez imaginer les gens dans leur pensée naturelle en train d'essayer de comprendre cet enseignement. Manger sa chair, boire son sang, mais c'est dans le sens spirituel. De manger sa chair, c'est de dire que nous devons maintenant participer dans son expiation, parce qu'il a donné sa chair pour la vie du monde, c'est-à-dire pour la vie des prêcheurs de partout dans le monde. c'est pour eux qu'il a donné sa vie. Donc, manger sa chair, c'est d'avoir cette chair maintenant, comme dans l'Ancien Testament. Une fois que le sacrifice a été offert, il y avait des sacrifices que maintenant les congrégants, l'Assemblée était convoquée pour manger de cette chair. Cela est une expression de la foi en Jésus-Christ. Mais venir à Christ, c'est de croire que dans sa mort, lorsqu'il a donné sa chair, que c'est sa chair qui était l'expiation du péché de son peuple, et rien d'autre. Donc, manger de cette chair et boire de ce sang, ou verser le sang, ça exigeait sa mort. Et nous buvons de ce sang, pas naturellement ou littéralement ou physiquement, mais spirituellement, par la foi. C'est le sang du Seigneur Jésus-Christ que nous regardons et qui est pour nous maintenant toute notre gloire et tout notre salut. Alors c'était une doctrine qui a offensé ceux qui l'entendaient, comme aujourd'hui. Il y a des gens qui ne veulent pas croire que le salut est en Jésus-Christ et Jésus-Christ seul et dans sa mort seul pour les pécheurs. Ils imaginent qu'il y a toujours quelque chose que l'homme lui-même doit ajouter. Alors, comme nous sommes en train de voir, c'est vrai, c'est une parole Nous savons que là où l'Esprit de Dieu agit dans sa grâce, même Christ, en parlant de ses douze disciples et en disant qu'il y avait un d'entre eux qui était un démon, on peut dire que parmi les foules qui viennent, et même s'il n'y a pas un grand nombre dans chaque assemblée, Il y en a qui sont pour le Seigneur et il y en a qui ne sont pas. Et ne sauront jamais. Ils resteront toujours dans l'incrédulité. Là où il y a le blé, il y aura l'ivraie. Il faut que nous comprenons cela dans notre prédication. Mais ce qui est bien dans cela, c'est que Dieu a toujours ses élus. Il a toujours ceux qu'il a sauvés. Et cela est évident, quels que soient ceux qui se sont retirés de Christ pour ne plus le suivre, lorsque Christ a posé la question dans le verset 67, « Et vous, vous ne voulez pas aussi vous en aller ? » Voilà la réponse de tous ceux en qui l'esprit de grâce réside. Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Et ça, c'est la réponse toujours de ceux en qui le Seigneur Jésus-Christ a déjà fait cette œuvre de grâce et pour qui il a déjà payé leurs dettes à la croix, ça serait toujours cette réponse. À qui ayons-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Même s'il y en a qui serait-il pour nous puisse suivre, si nous sommes véritablement à lui, nous ne pouvons que continuer à venir à lui. Et c'est ça le salut. La foi n'est pas une action que l'homme fait une fois et puis c'est fini. Non, c'est une persuasion. Je suis persuadé par la grâce de Dieu en Jésus-Christ qu'il n'y a de salut en aucun autre, qu'il n'y a aucun autre qui a été donné et continuer par sa grâce à croire même si le monde ne croit pas. Alors si nous avons reçu cette grâce de Dieu, nous le remercions parce que c'est effectivement une grâce et non pas un droit. Amen. Sous-titrage Société Radio-Canada
Une parole dure
ស៊េរី Enseignements bibliques
Pourquoi des hommes sont scandalisés par l'évangile pur et simple du Christ? Comment c'est possible d'être un disciple et trouver la parole du Christ dure? Pourquoi certains se retirent de suivre Christ et d'autres restent attachés à Lui? Qui sont ceux qui persévèrent jusqu'à la fin?
លេខសម្គាល់សេចក្ដីអធិប្បាយ | 123017155180 |
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