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ប្រតិចារិក
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Nous ouvrons encore nos bibles ce soir dans le livre d'Apocalypse où nous étudions les lettres que le Seigneur Jésus Christ a donné à Jean d'écrire aux sept églises et ce soir nous allons parler de l'église de l'Odyssée, la dernière église. Et pour cela, nous étudions ce soir la lettre à l'église de l'Odyssée. Et nous lisons le texte, Apocalypse 3, versets 14 à 22. Il est écrit à l'ange de l'église de la Odyssée. Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le principe de la création de Dieu. Je connais tes œuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puis-tu être froid ou bouillant ? Ainsi, parce que tu es tiède et que tu n'es ni froid ni bouillant, Je te vomirai de ma bouche parce que tu dis je suis riche, je me suis enrichi et je n'ai besoin de rien et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. Je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu. afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs afin que tu sois vêtue et que la honte et la nudité ne paraissent pas, et un colis pour ouindre tes yeux afin que tu vois. Moi, je reprends et châtie tout ce que j'aime, et donc du zèle et reprends-toi. Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur le trône, sur mon trône. Comme moi, j'ai vaincu et je me suis assis avec mon père sur son trône. que celui qui a les oreilles entendent ce que l'esprit dit aux sept églises. Voilà donc, n'est-ce pas, le texte de ce soir. Et selon l'histoire, la ville de l'Odyssée était une ville très développée, financièrement, économiquement très forte, une ville où étaient établis beaucoup de banques, et de grands commerces. Bref, la ville de l'Odyssée était une ville très prospère, une ville très riche. Et c'est dans cette ville que se trouvait cette église pauvre spirituellement, cette église aveugle spirituellement, cette église misérable spirituellement. Et en réalité c'est ce qu'on constate lorsqu'on observe, n'est-ce pas, les hommes là-dehors. Ils sont riches matériellement, financièrement. Ils sont à l'abri du besoin, mais spirituellement ils sont pauvres, spirituellement ils sont misérables, aveugles, spirituellement ils sont nus. Et ils ont besoin, n'est-ce pas, de Christ. Comme il dit ici à l'église de la Odyssée, je te conseille d'acheter de moi. Et ce n'est pas qu'on achète quelque chose de Christ, mais on a besoin de Christ. Vous voyez, c'est Christ lui-même, c'est lui-même, c'est lui-même, c'est lui-même qui est ici, de l'or éprouvé, c'est lui-même qui est ici, les vêtements blancs, et c'est pas autre chose. Et tant que les hommes continuent de tourner le dos à Christ, ils seront comme l'église de l'Odyssée. Mais en fait l'église de l'Odyssée même d'ailleurs c'était une église de Christ, c'était des hommes sauvés, c'était des hommes sauvés. La condition de ceux qui ne sont même pas sauvés, ceux qui ne sont pas en Christ, leur condition est vraiment critique, parce que c'est les flammes de l'enfer qui les attendent. L'église de l'Odyssée, malgré cette description que le Seigneur donne, c'était son église et c'est pourquoi il dit verset 19, moi je reprends et j'attire tous ceux que j'aime. C'était les hommes et les femmes qu'il avait aimé depuis avant la fondation du monde mais qui à un certain moment sont devenus ce qu'ils sont devenus. Et la première chose que nous relevons comme toujours, n'est-ce pas, la lettre est adressée à l'ange de l'Odyssée. Nous le rappelons, c'est le responsable spirituel qui, comme le reste, n'est-ce pas, le reste de l'Église, ne voyait vraiment pas leur propre situation, la condition dans laquelle ils évoluaient devant Dieu. Et même, nous pouvons dire qu'en fait, Cette église de la Odyssée était à l'image de son responsable lui-même. Parce qu'en réalité, si le responsable est aveugle, tout le reste est aveugle. Si le responsable est pauvre spirituellement, tout le reste est spirituellement pauvre. Parce que le responsable ne donne que ce qu'il reçoit de Christ et ce qu'il a. Il ne peut pas donner ce qu'il n'a pas. nous vous nourrissons de ce que Christ nous a nourri. Et si nous-mêmes nous refusons de nous nourrir de ce que Christ donne, nous allons vous donner en réalité la médiocrité que nous sommes nous-mêmes. C'est ça le problème que nous voyons ici. Je dirais même que cette église était à l'image de ces conducteurs spirituels qui eux-mêmes ne voyaient pas leur état. qui pensait être quelque chose. Et ainsi donc cette lettre avait pour but, elle était bienvenue, elle avait pour but, n'est-ce pas, de le réveiller, elle avait pour but de lui ouvrir, de leur ouvrir les yeux sur leur situation et d'amener l'Église à travailler pour sa restauration. C'est pourquoi il dit que celui qui a les oreilles entend ce que l'Esprit dit aux églises. Lorsqu'il dit celui qui a des oreilles, les oreilles c'est pour quoi ? C'est pour entendre. Et pour entendre qu'est-ce qu'il faut ? L'attention. Il les interpelle ici que toute leur attention doit être portée sur ce que l'Esprit, le Saint-Esprit vient de leur annoncer à travers cette parole et qu'ils travaillent pour leur restauration. C'est la première des choses que nous voyons et voyez mes amis vous savez nous ne pouvons que, nous sommes tous des enfants de Dieu là où nous sommes mais en réalité nous ne pouvons donner que ce que nous sommes et ce que nous avons Si nous ne grandissons pas spirituellement, n'attendons pas ceux qui sont avec nous de grandir spirituellement. Leur croissance spirituelle dépend de notre croissance spirituelle. C'est ça. Et c'est très important. C'est pourquoi dans certaines maisons, par exemple des maisons chrétiennes, où les parents ne sont pas spirituellement mûrs, les enfants grandissent comme s'ils n'entendaient pas la parole de Dieu. Et lorsqu'ils l'entendent, ce n'est vraiment pas une parole instructive. Et nous devons faire attention à nous-mêmes. devons faire attention à nous-mêmes. C'est comme nous allons le voir, l'état de cette, comment est-ce que cette église pensait, elle pensait être quelque chose, mais malheureusement elle était véritablement médiocre, médiocre. Deuxièmement, le Seigneur s'identifie lui-même ici, comme par ailleurs ici il dit Il est l'Amen. L'Amen, ça veut dire quoi ? Celui qui ne change pas dans ses desseins, dans ses promesses. Ses promesses s'accomplissent toujours. Il est la vérité inchangeable de Dieu, la vérité immuable de Dieu. Lorsqu'on dit Amen, ça veut dire ainsi soit-il. Comme pour dire, nous confirmons que c'est la vérité. Nous confirmons que c'est la vérité. et Christ est la main parce qu'il est la vérité inchangeable, la vérité de Dieu, inchangeable de Dieu, la vérité toute puissante de Dieu. Il est le témoin fidèle et véritable. Lorsqu'on parle d'un témoin, on parle de celui-là qui a vu et qui a entendu, et c'est ce qu'il a vu et c'est ce qu'il a entendu qu'il rapporte. C'est un témoin fidèle. un témoin fidèle et le Seigneur Jésus-Christ est ce témoin fidèle parce que dans la parole il nous dit que c'est ce qu'il entend et c'est ce qu'il voit au Père qu'il fait. Il dit ce qu'il entend au Père et il dit ce qu'il voit au Père. Donc en fait sa parole est digne de foi, sa parole est véritable, digne de foi. Vous voyez c'est pourquoi Dieu lui-même à son baptême et sur la montagne, la préfiguration, il dit « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection ». Écoutez-le. Pourquoi Dieu met-il toute son affection en son Fils ? Parce que c'est son Fils qui est, c'est son Fils qui rapporte fidèlement, fidèlement ce que Dieu dit. et il fait fidèlement ce que Dieu lui-même fait. Dans Jean 8, verset 26, le Seigneur Jésus-Christ dit ceci. Jean 8, verset 26, il dit « Il y a beaucoup de choses à vous dire et à juger en vous, mais celui qui m'a envoyé est vrai, et ce que j'ai entendu de lui Je le dis au monde. Jean 8, verset 26. Et au verset 28, il dit, Jésus leur dit donc, quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis. Vous connaîtrez que je suis le Dieu véritable. Le Dieu d'éternité en éternité. Je suis l'éternel. Vous voyez ce que je suis. vous connaîtrez, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Ce que le Père m'a enseigné. Vous voyez, c'est ça le témoin fidèle. Il n'ajoute rien à ce qu'il a entendu, et il ne rétranche rien à ce qu'il a entendu. Il ne dit pas ce qu'il n'a pas vu, mais il dit exactement ce qu'il a vu et ce qu'il a entendu. Et il est le véritable, le véritable Dieu. S'il dit exactement ce que son Père a dit, c'est parce que lui-même est dans le Père et le Père est en lui. Et c'est pourquoi dans 1 Jean chapitre 5, à partir du verset 20, nous savons que le Fils de Dieu est venu et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le véritable. Nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ, c'est lui le Dieu Véritable et la vie éternelle. Et il dit, petits enfants, gardez-vous des idoles, méfiez-vous des idoles, méfiez-vous de ce Jésus qu'on vous annonce qui n'est pas le Dieu Véritable et vrai, qui n'est pas le Dieu d'éternité en éternité. Il ne peut pas vous sauver. C'est ça. Une autre chose, la manière dont le Seigneur Jésus-Christ s'identifie ici à l'église de la Odyssée, il est le principe de la création. Ça veut dire quoi? Le commencement, l'origine, la source, la cause première de tout ce qui existe. Le commencement de toutes choses, l'origine de toutes choses. Il est le créateur de tout ce qui existe. Il est le Créateur. Comme pour leur dire, voyez, cet homme, cet homme qui est venu sous forme, en fait, cet homme qui est venu comme un simple homme, comme un homme ordinaire, qu'on a considéré comme le fils de Jésus, comme le fils de Marie, hein, en cet homme habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. C'est lui le Dieu Créateur. Dieu d'éternité en éternité, c'est lui l'éternel, celui qui suit, celui qui suit et c'est un réconfort n'est ce pas pour cette église Et comme pour l'église aujourd'hui, pour ces églises, cette église, c'était un réconfort pour eux de savoir qu'en réalité, leur Seigneur c'est celui qui règne sur son trône de gloire, c'est celui qui est le Dieu de gloire, le Tout-Puissant, celui qui tient toutes choses en main, celui qui conduit toutes choses, celui qui a vaincu tous ses ennemis, celui qui règne. et qui fait concourir toutes choses à leur bien. Parce que c'est des églises qui connaissaient la persécution. C'est des églises qui connaissaient multiples souffrances. Et c'est la même chose pour nous aujourd'hui. Vous voyez, de savoir que celui qui est mon Dieu, c'est celui qui tient toutes choses entre ses mains. C'est celui qui dirige toutes choses. C'est celui qui ordonne. et c'est celui qui fait concourir toutes choses à mon bien. Cela nous donne la paix, cela nous donne le repos, cela nous donne la sécurité, la sécurité. Et donc c'est ce que le Seigneur est en train de faire ici dans son identification, la manière dont il se présente à chacune de ses églises. c'est pour consoler cette église, c'est pour apporter du réconfort dans le cœur de cette église, c'est pour fortifier ces églises, de comprendre que leur Dieu est vivant et c'est lui qui règne. La terre est son marchepied et le ciel est son trône. Et une autre chose, Troisièmement, nous voyons le Seigneur ici qui désapprouve l'Église de l'Odyssée, verset 15 à 17. Revenons dans Apocalypse 3, verset 15 à 17. Il dit « Je connais tes œuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant? Ainsi, parce que tu es tiède et que tu n'es ni foie ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis, je suis riche, je me suis enrichi et je n'ai besoin de rien. Et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, aveugle et nu. Voilà. Donc le Seigneur connaît. Il connaissait les œuvres de l'église de l'Odyssée. Il connaît, n'est-ce pas, nos œuvres. Tout ce que nous pouvons faire, tout ce que nous pouvons penser, le Seigneur connaît. Il connaît nos œuvres. Et nous ne pouvons rien lui cacher. Il connaît ce qui remplit nos cœurs. Si c'est sa gloire qui remplit nos cœurs, voilà, c'était ça le problème de l'Odyssée ici. si c'est sa gloire qui remplit nos cœurs, si c'est sa crainte qui remplit nos cœurs, si c'est l'amour pour lui qui remplit nos cœurs. Et vous voyez, en réalité, nos cœurs expriment, en fait, nos œuvres, je veux dire, nos œuvres expriment l'état de nos cœurs. Alice, c'est ce que nos cœurs sont devant Christ, parce que nos œuvres sortent d'où ? De notre cœur. De notre cœur. Et nos œuvres, elles sont bonnes, elles sont mauvaises, elles expriment l'état de notre cœur. Elles sont tièdes, elles ne sont pas bouillantes, elles ne sont pas... Elles expriment l'état de notre cœur. Et les œuvres de l'Odyssée exprimaient l'état de son cœur, l'état du cœur de cette Église. Elles n'étaient ni froides, elles n'étaient ni bouillantes. Donc, le Seigneur révèle ici, n'est-ce pas, le mauvais état, la mauvaise condition de l'église de l'Odyssée. Il dit, je sais que tu n'es ni bouillant, ni froid, mais que tu es tienne. Et qu'est-ce que nous pouvons comprendre de par là ? En fait, l'église de l'Odyssée avait perdu vraiment son zèle pour la gloire de Christ. Retenez que c'est l'Église de Christ. Ce n'est pas des païens, c'est des hommes et des femmes aimés de toute éternité par Christ, rachetés par le sang de Christ, rendus saints et irréprochables devant Dieu. Des hommes et des femmes sur lesquels il n'y avait plus aucune condamnation, parce qu'ils étaient en Jésus Christ. Mais, le culte qui rendait à Christ, Le culte qui rendait à Christ quotidiennement. Ils avaient perdu leurs ailes pour la gloire de Christ. Ils avaient perdu leurs ailes pour l'avancement de la gloire de Christ et le salut des élus. Ils ne ressentaient plus le désir de croître spirituellement dans la grâce de Christ, dans la connaissance de Christ, dans l'amour pour Christ. Ils ne ressentaient plus le désir de la communion avec Christ. Voici leur problème ici. Cette église se contentait seulement et se réjouissait seulement d'avoir été sauvée par le sang de Jésus Christ. Elle se contentait seulement d'être en Christ. Et beaucoup, comme l'église de l'Odyssée, on trouve beaucoup comme ça même dans les milieux de la grâce. Les hommes et les femmes qui ne ressentent aucun besoin de croire dans la grâce, mais qui se disent je suis sauvée, ah je suis sauvée. combien les gens me disent, vous faites beaucoup de théologie, l'essentiel c'est d'être sauvé. Mais quelle théologie nous faisons? Prêcher l'évangile, expliquer les écritures, est-ce que ça c'est de la théologie? On dit ça c'est les doctrines, c'est les dogmes. Les gens disent des choses même qu'ils ne comprennent pas. Prêcher l'évangile c'est pas les dogmes. Expliquer les écritures c'est pas les dogmes. Mais c'est amener les hommes à une meilleure connaissance de Christ, une meilleure connaissance d'eux-mêmes, une meilleure connaissance du salut qui est en Christ, et de les enraciner et de les affirmer en Christ. C'est pour ça que nous expliquons les Écritures. Et il y a des gens en réalité qui ne sentent pas le besoin d'être là. Pourquoi est-ce que beaucoup de gens ne peuvent pas venir aux études bibliques ? Pourquoi est-ce que beaucoup de gens ne peuvent pas venir même aux réunions de prière ? Parce qu'ils se disent « Oh, je suis sauvé, ça me suffit ». Hein ? Mais se dire « Je suis sauvé, ça me suffit », c'est exactement la condition de l'Église de l'Odyssée. Ni froid, ni bouillant. Ni bouillant. Quelques peu morts, on peut dire. En fait, morts vivants. Ceci nous concerne. Ceci nous concerne. Oui, mes amis. C'est une église qui se disait, bon, nous sommes en Christ, cela nous suffit, nous sommes sauvés, cela nous suffit. Contrairement à ce que le Seigneur Jésus-Christ attend de ceux qu'il a sauvés, contrairement à ce que le Seigneur Jésus-Christ attend de ses élus. Et qu'est-ce qu'il attend de nous? La croissance dans sa grâce. Dans sa grâce. Voyez, c'est pour cela qu'il nous a donné, je disais maintenant, pourquoi est-ce que nous expliquons les Écritures ? Revenons dans Éphésiens chapitre 4. Pourquoi est-ce que les serviteurs de Dieu doivent-ils passer du temps à expliquer les Écritures, à enseigner les Écritures, même si beaucoup ne voient pas l'importance ? Parce qu'ils sont sauvés. Revenons au verset 11, s'il vous plaît. Éphésiens 4, verset 11. Et le Seigneur Jésus-Christ a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs pour le perfectionnement des saints en vue de l'œuvre du ministère et de l'édification du corps de Christ. Jusqu'à ce que nous soyons tous parvenus à l'unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu à l'état d'homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ. Voilà ce que Christ veut attendre de nous. C'est pour cela que nous sommes là pour enseigner les Écritures et les enseigner fidèlement. Vous voyez. Verset 14 « Ainsi, nous ne serons plus des enfants flottants et emportés à tout vent de doctrine par la tromperie des hommes. par leur ruse dans les moyens de séduction, mais en professant la vérité dans l'amour, nous croitrons à tous égards en Celui qui est le Chef, Christ. C'est de Lui que grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s'édifie lui-même dans l'amour. Voici ce que le Seigneur Jésus-Christ attend de son Église. Il nous a sauvés, certes, mais nous devons grandir. Un enfant qui est né Le petit William, il est là. Il est venu il y a trois semaines et demie. Mais si nous constatons que cet enfant ne grandit pas, quelle sera notre attitude ? Qu'est-ce que nous allons penser dans nos cœurs ? Vous voyez ? Il est né pour grandir. Pour grandir. S'il ne grandit pas, il y a quelque chose. Il y a quelque chose. Il y a problème et cette église avait ce problème et beaucoup ont ce problème aujourd'hui. De croire que non, je suis sauvé, ça me suffit. Et nous pouvons encore lire dans Colossiens chapitre 1 verset 9 à 11 Colossiens chapitre 1 verset 9 à 11 où il dit, ça c'est la prière de Paul, pour les chrétiens de Colosse et pour nous. Il dit, c'est pour cela que nous aussi, depuis le jour où nous avons été informés, nous ne cessons de prier Dieu pour vous, nous demandons que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle, pour marcher d'une manière digne du Seigneur, et lui être entièrement agréable, portant du fruit en toutes sortes de bonnes œuvres, et croissant par la connaissance de Dieu, fortifiée à tous égards par sa puissance glorieuse, en sorte que vous soyez toujours et avec joie persévérant et parfait. Amen. Voici ce que Christ attend de nous. Voici les besoins essentiels de l'Église, nos besoins essentiels dans ce monde. Ce n'est pas notre bien-être. Malheureusement, ce sont les choses passagères et périssables qui sont les sujets privilégiés de ces hommes et de ces femmes qui se disent sauvées. Non, notre croissance spirituelle, notre relation avec notre Dieu, la communion avec Christ, c'est ce qui est essentiel pour nous dans ce monde. Vous pouvez lire aussi dans un pierre, dans deux pierres, chapitre 1, mais c'est 3 à 11. Vous lirez ça, notez ça, vous lirez. Alors l'église de la Odyssée n'était pas morte, mais elle ne brillait pas non plus de la vie de Christ. Elle était tiède. L'église avait perdu son premier amour pour Christ. Elle avait perdu son premier amour pour Christ. Et une autre chose, n'est-ce pas que le Seigneur relève dans le verset 16, le Seigneur promet de vomir cette église de l'Odyssée. Comment le Seigneur allait donc vomir cette église de l'Odyssée ? Est-ce que cela veut dire que le Seigneur allait retirer son amour de l'église de l'Odyssée ? Il ne devait plus l'aimer, il ne devait plus la sauver. Non. Il l'a aimée une fois pour toutes, d'un amour éternel, d'un amour éternel. Mais il allait la châtier, comme il dit au verset 19. Voici comment le Seigneur allait la vomir. C'est en la châtiant. Il dit, verset 19, moi je reprends et je châtie tout ce que j'aime, tout ce que j'aime. Et dans Hébreu chapitre 12, voici ce que l'apôtre écrit. En fait, le Saint-Esprit nous enseigne par rapport à notre conduite devant le Seigneur. Il dit Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang en luttant contre le péché et vous avez oublié l'exhortation qui vous est adressée comme à des fils. Il dit personne d'entre vous n'est pas encore mort en luttant contre le péché. Donc en fait c'est une lutte perpétuelle, il ne faut pas se lasser, il ne faut pas se décourager et se laisser. laisser le péché l'emporter. Il dit mon fils ne méprise pas le châtiment du Seigneur et ne perd pas courage lorsqu'il te reprend car le Seigneur châtie celui qu'il aime et il frappe de verge tous ceux qu'il reconnaît pour fils, pour ses fils. Donc lorsqu'il dit qu'il devait vomir l'église de l'Odyssée, ce n'est pas comme s'il n'allait plus la sauver ou bien qu'il allait retirer son amour de ses hommes, mais il allait les châtier. Le type de châtiment n'est pas nommé ici. C'est pourquoi nous ne pouvons pas définir de quel châtiment il s'agit. Le Seigneur allait, n'est-ce pas, les mettre à l'épreuve, les mettre à l'épreuve, afin que de par cette épreuve, ils se relèvent pour leur restauration. Il les relève et les restaure. Revenons à notre texte verset 17. Là, le Seigneur relève ou bien le Seigneur note l'aveuglement spirituel de l'Église de la Odyssée. Vous voyez, l'église de l'Odyssée était peut-être matériellement, financièrement comblée, comme l'histoire nous raconte de la ville de l'Odyssée. Ou même, en fait, elle se contentait simplement de ce qu'elle était et ne voyant véritablement pas et ne comprenant pas son état spirituel, son mauvais état spirituel, sa mauvaise condition spirituelle devant Dieu. et il dit ici au vers 77, il dit parce que tu dis je suis riche, je me suis enrichi, je n'ai rien, je n'ai besoin de rien et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. Voilà la condition spirituelle de cette église mais malheureusement elle se vantait d'être une église forte. elle se vantait d'être une église forte, une église vivante. Alors qu'en fait, aux yeux de Dieu, il n'y avait pas la vie. Il n'y avait pas la vie. Vous voyez, mes amis, nous pouvons être comme l'odyssée. C'est peut-être une église qui, n'est-ce pas, était beaucoup attachée aux activités. Et aux yeux des hommes, cela paraissait une église vivante. Mais spirituellement, Christ n'était pas à sa place. On peut beaucoup être attaché aux activités, n'est-ce pas ? Mais sans vraiment la grâce, sans l'œuvre efficace de la grâce de Christ, non, dans le cœur, dans les cœurs. Et il y a beaucoup d'églises comme ça aujourd'hui. Elles paraissent être des églises vivantes, elles paraissent être des églises très prospères, très, très, très, très prospères spirituellement, mais Christ a fui depuis longtemps. En fait, il n'a jamais été là, même pas. Il n'a jamais été là. Regardez ces églises qui sont là-dehors. Elles sont très bouillantes. Mais la vie n'y est pas. Heureusement, l'Odyssée avait la vie. Mais elle était malheureuse, médiocre, et elle attirait le malheur sur elle-même. Elle était misérable. Ce qui était pour lui des gains à ses yeux en réalité n'avait aucune valeur spirituelle devant Dieu. Elle inspirait la pitié de Dieu. Elle inspirait la pitié de Christ. Elle était pauvre. Elle manquait de tout. L'œuvre efficace, elle ne connaissait pas en elle, n'est-ce pas, l'œuvre efficace de la grâce de Christ pour sa croissance et pour son édification. Elle était aveugle. Elle ne pouvait voir ni comprendre quelle était sa véritable condition et son besoin de la grâce de Dieu. Son besoin de la grâce de Dieu, son besoin de la communion avec Christ. Elle était nue. dépouillé totalement devant Christ. Voyez, dépouillé. Voyez, l'église de l'Odyssée était comme ces pharisiens et ces scribes, hein, dans l'Ancien Testament, hein, ces juifs qui se croyaient meilleurs, qui malheureusement en réalité ne voyaient pas leur propre misère. Et c'est deux, n'est-ce pas, c'est de ces juifs et de ses propres justes, pas seulement les Même dans le milieu de la grâce, il peut y avoir des hommes qui sont des propres, juste, qui pensent que moi je suis ceci, moi je suis ceci, je suis avancé en ceci, je suis avancé en cela. Comme certains pensent que c'est seulement les nouveaux convertis qui ont besoin de telle exhortation, de telle exhortation. Non ! L'enseignement, c'est tout ce qui ont besoin de l'enseignement. Ce que nous avons entendu le premier jour, nous avons encore besoin de l'entendre aujourd'hui, et nous avons encore besoin de l'entendre jusqu'à la dernière minute de notre mort. Il n'y a rien qui soit pour les nouveaux convertis. Vous voyez, les Juifs dans l'Ancien Testament, ils pensaient... Et c'est d'eux que le Proverbe parle ici dans le Proverbe 30, verset 12. Il dit, il est une race qui se croit pure et qui n'est pas lavé de sa souillure. C'est ainsi que l'audition, c'est une grise qui pensait qu'elle était riche, qu'elle s'est enrichie. Peut-être était-elle matériellement enrichie, matériellement riche, mais spirituellement elle faisait pitié. Elle était misérable. Combien de fois, n'est-ce pas, nous avons eu cette fausse opinion de nous-mêmes, n'est-ce pas, comme les frères de l'Odyssée, jusqu'au jour où le Seigneur nous a ouvert les yeux pour que nous comprenions, n'est-ce pas, notre misère, notre malheur, pour que nous comprenions notre pauvreté. Et c'est pourquoi en réalité, les véritables enfants, les véritables élus, dans les cœurs desquels la grâce de Dieu est en eux, ces hommes et ces femmes qui grandissent spirituellement. Au fur et à mesure ils grandissent spirituellement, au fur et à mesure ils deviennent petits, petits, parce qu'ils se voient eux-mêmes tels qu'ils sont. Et ils savent que sans la grâce de Dieu je ne suis absolument rien, rien. Il ne peut pas se lever pour dire qu'il est grand. Il ne peut pas se lever pour dire qu'il a compris, qu'il a tout compris. Il ne peut pas se lever pour dire je suis arrivé. Au fur et à mesure vous grandirez dans la grâce, au fur et à mesure vous allez vous humilier. Vous allez vous humilier. Si en grandissant dans la grâce, vous vous enorgueillez, c'est que la grâce de Dieu vous a oubliés. Elle vous a fait connaître une fausse opinion de vous-même et non pas la réalité de vous-même. Et que le Seigneur nous en garde. Que le Seigneur nous en garde. Et nous continuons dans le verset 18. Là, n'est-ce pas, le Seigneur souligne encore le besoin essentiel de l'Église de l'Odyssée. Ce besoin essentiel, c'est le Seigneur Jésus-Christ lui-même. le 17-18 il dit et je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu afin que tu deviennes riche et des vêtements blancs afin que tu sois vêtu et que la honte et la nudité ne paraissent pas et incollir pour loin de tes yeux Vous voyez, mes amis, ce besoin essentiel, vous voyez, cet or éprouvé, ces vêtements blancs, ce collier que cette Église avait besoin et dont nous avons besoin, c'est notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ lui-même. C'est Lui qui donne le vouloir et le faire. Et c'est Lui-même qui fait tout en nous. C'est Lui qui fait tout en nous. Vous savez, dans Ésaïe 26, le verset 12, il dit, Éternel, nous avons la paix. Parce que tout ce que nous faisons, c'est toi qui le fais en nous. En nous. Ils avaient besoin de Christ. Pour que Christ œuvre efficacement dans leur cœur. Voyez. C'est lui le Seigneur Jésus-Christ lui-même qui est de cet or éprouvé. Il est le Dieu béni éternellement, le Fils éternel de Dieu qui a été éprouvé, éprouvé en portant sur lui le péché de son peuple et qui a subi la colère de Dieu. sur la croix, il en est mort, il en a été enseveli, il est ressuscité le troisième jour pour le salut de son peuple. C'est lui de leur éprouver. Et sans lui nous ne pouvons absolument rien. Rien. C'est lui, n'est-ce pas, ce vêtement. C'est lui qui a ce vêtement blanc, c'est sa justice, c'est sa sainteté. dont il a revêtu ses élus, et c'est lui aussi, n'est-ce pas, avec sa justice, sa sainteté, dont il a revêtu ses élus pour les faire paraître sains et irréprochables devant Dieu. Et c'est lui qui revêt son peuple de ses précieux dons. pour le bon fonctionnement de son église, pour la bonne santé de son église, et pour le servir en esprit et en vérité. C'est lui qui nous revêt de toutes ces choses. Et en plus, c'est lui qui est le colère spirituel pour nos yeux, parce que c'est lui qui est la lumière de la vie, qui nous éclaire, qui nous illumine et qui nous éclaire. C'est le Seigneur Jésus-Christ lui-même. C'est pourquoi il est dit dans Jean chapitre 1, il dit au commencement était la parole, la parole était avec Dieu et la parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie et la vie était la lumière des hommes. Amen. Oui, c'est Christ vivant en nous qui nous éclaire, qui nous ouvre les yeux, qui fait tomber, n'est-ce pas, les écailles de la fausseté, la fausse religion, les écailles de la fausse notion que nous pouvons avoir du culte allurant pour que nous le servions en esprit et en vérité. Et ici, l'église de l'Odyssée, n'est-ce pas, avait cette fausse notion. Ce n'était pas quelque chose à acheter de Christ, mais c'est Christ lui-même. C'est de lui dont nous avons besoin. Et Aïdon, c'est le Seigneur Jésus-Christ qui restaure son peuple. C'est lui qui relève son peuple de ses chutes. C'est de Lui dont l'Église de l'Odyssée avait besoin et c'est de Lui que nous-mêmes nous avons besoin pour notre croissance dans la grâce, dans le salut qu'Il nous a donné pour croître à la stature même de Christ, à la ressemblance et à l'image de Christ. C'est Lui-même qui œuvre, qui fait cette œuvre de grâce en nous, cette œuvre bénie en nous. Parfois les hommes recourent au jeûne et à la prière, mais aucun jeûne, aucune prière. Non. C'est Christ. C'est Christ. Verset 19 et 20, voyez, le Seigneur appelle son église, il appelle l'église de l'Odyssée aux ailes pour son nom et à revenir à la communion avec lui. Lisons-le. Il dit « Eh, donc, Dussel, et réponds-toi. Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. » Voyez, le verset 20, c'est un verset que moi j'ai beaucoup très mal compris et que j'avais beaucoup mal enseigné. Voyez, oubliant qu'en réalité ici le Seigneur parle à son Église. Mais j'ai enseigné ce verset comme si l'église de l'Odyssée c'était des païens et qu'il fallait qu'ils ouvrent la porte au Seigneur pour que le Seigneur les sauve. Non. Ce n'est pas de ça qu'il s'agit ici. Il ne s'agit pas d'ouvrir... C'est pas l'église de l'Odyssée qui doit ouvrir la porte pour que le Seigneur les sauve. Ce n'est pas ça. Mais il s'agit sur la communion avec Christ. Il dit j'entrerai, je souperai avec lui et lui avec moi. Souper avec quelqu'un c'est quoi ? C'est symbolique de la communion avec la personne. Et qu'est-ce que le Seigneur dit ici ? Il appelle simplement l'église de l'Odyssée comme il nous appelle nous-mêmes aujourd'hui aux ailes pour son nom et à revenir à la communion avec lui. Cette communion que beaucoup ont perdue. Comme l'église de l'Odyssée. Donc, c'est un retour à la communion. Vous voyez, nous avons déjà lu ça dans Éphésiens chapitre 4, vous voyez, où nous voyons que c'est en lui et par lui, n'est-ce pas, que le corps tire son accroissement selon que Dieu lui-même donne à son Église. Mais dans Jean chapitre 15, il est écrit ceci, versets 4 et 5, il dit demeurez en moi et je demeurerai en vous. Comme le serment ne peut, comme le serment ne peut lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au sceptre, ainsi vous ne pouvez non plus si vous ne demeurez pas en moi. Je suis le sceptre, vous êtes le serment. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. sans moi vous ne pouvez rien faire. Donc c'est un appel, un rappel à la communion. Il appelle son église à se réveiller et à revenir à la communion avec lui. Et dans les versets 21 et 22, c'est la promesse du Seigneur à l'église de l'Odyssée, la promesse du Seigneur à son église tout court, à nous-mêmes. Mais dans cette promesse, dans cette promesse de la gloire éternelle avec Christ sur son trône, n'est-ce pas, le Seigneur appelle son Église et encourage son Église à vaincre sa tiédeur qui fait la guerre à son âme, comme lui-même a vaincu tous ses ennemis et il s'est assis sur son trône avec le Père. avec le Père, c'est pourquoi il dit ici, il dit celui qui vaincra, non, celui qui vaincra je le ferai asseoir sur mon trône, comme moi-même j'ai vaincu et je me suis assis avec mon Père sur son trône, le trône de Christ et le trône de Père, c'est pas deux trônes différents, c'est le même trône, c'est le trône de Christ et du Père. Il nous appelle ici à la gloire éternelle et à régner avec lui sur son trône. Mais nous devons pour cela vaincre, n'est-ce pas, les ennemis qui font la guerre à notre âme. Nous devons vaincre les ennemis qui font la guerre à notre âme. Dans l'Église de l'Odyssée devait vaincre sa tièdeur devait se relever, cette tiadeur qui faisait la guerre à son âme et dont elle ne se rendait pas compte. Elle ne se rendait pas compte. Et enfin, n'est-ce pas, il interpelle l'Église de l'Odyssée à porter toute son attention, à incliner tout son cœur sur ce message que le Saint-Esprit leur a annoncé concernant leurs mauvaises conditions spirituelles et a se relevé par celui-là qui fortifie son Église, notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. C'est pourquoi il dit que celui qui a les oreilles entend, et ce que l'Esprit dit aux Églises, nous appelle à porter toute notre attention sur les messages, sur ces lettres, parce qu'en réalité, vous voyez, c'est cette lettre, c'est cette lettre qui nous enseigne exactement la condition par laquelle passe l'Église de Christ de tous les âges. Tout ce qui est exprimé ici, c'est l'expérience de l'Église de Christ, de tous les âges. Nous connaîtrons les bas et les hauts, le Seigneur nous appréciera, le Seigneur nous reprouvera aussi. Vous voyez, c'est comme ça. Tout ce que nous avons lu dans ces églises est vécu, est expérimenté dans l'Église de Christ. C'est la vie de l'Église. Heureusement, que ce soit dans les bas, que ce soit dans les hauts, nous sommes aimés du Seigneur. Nous sommes aimés du Seigneur. Il nous porte dans son cœur. Il ne nous réunira plus jamais. Dieu bénisse sa parole dans nos cœurs. Amen. Sous-titrage ST' 501
L'épître à l'église de Laodicée - Apocalypse 3:14-22
ស៊េរី Enseignements bibliques
- Qui est l'« Amen » au verset 14 ?
- Que signifie l'expression « les Laodicéens n'étaient ni froids ni bouillants » ?
- Pourquoi Jésus dit-il qu'il les « vomira de sa bouche » ?
- Que signifie « vous dites : Je suis riche » au verset 17 ?
- Que signifient « l'or purifié par le feu », « les vêtements blancs » et « l'onguent » au verset 18 ?
លេខសម្គាល់សេចក្ដីអធិប្បាយ | 1120241320224794 |
រយៈពេល | 51:47 |
កាលបរិច្ឆេទ | |
ប្រភេទ | ការបង្រៀន |
អត្ថបទព្រះគម្ពីរ | វិវរណៈ 3:14-22 |
ភាសា | បារាំង |
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