Prenons nos Bibles et regardons de nouveau dans Hébreu chapitre 7. Je vais reprendre où nous avons laissé l'allée une fois dans le verset 18. Et Dieu voulant arriver jusqu'au bout de ce chapitre 28, le verset 28. Hébreu 7, 18 à 28. Je voudrais voir avec vous la supériorité de notre souverain sacrificateur. Nous avons vu la dernière fois comment Christ est venu non selon l'ordre d'Aaron, mais selon l'ordre de Melchizedek. Et nous avons vu les qualités de Melchizedek et comment ces qualités correspondent à notre Seigneur Jésus-Christ. Et avec la venue du Christ, alors, il y a ce nouvel ordre qui est établi. Donc, dans cela, nous voyons la supériorité de Jésus-Christ comme notre souverain sacrificateur. Dans le verset 18, alors, la conclusion, c'est qu'il y a ainsi abolition d'une ordonnance intérieure. à cause de son impuissance et de son inutilité, car la loi n'a rien amené à la perfection et introduction d'une meilleure espérance par laquelle nous nous approchons de Dieu. Voilà pourquoi nous voyons maintenant comment c'était nécessaire que Christ vienne et que Christ établissent la loi en chaque aspect, non seulement la lettre de la loi, mais aussi l'esprit de la loi, afin que Dieu soit juste pour déclarer juste chaque pécheur qu'il a choisi depuis l'éternité et a donné à son Fils. Donc, le verset 18 explique pourquoi la loi a été mise de côté. Ça n'a jamais été donné, la loi n'a jamais été donnée d'ailleurs comme moyen de salut. Beaucoup pensent que non c'est pourquoi Dieu a donné sa loi, mais c'est le contraire. La loi a été donnée pour condamner davantage. Et donc, d'une part, il y a annulation de l'Ancien Commandement à cause de sa faiblesse. Comme c'est écrit là, la loi ne pouvait, verset 19, amener personne à la perfection. Tout ce que ça pouvait faire, c'était de condamner. Donc, la loi n'a rien fait de parfait, quoique la loi révélait la justice et la sainteté de Dieu, bien sûr, mais en ce qui concerne les sujets, ceux qui étaient assujettis à cette loi, cette loi ne pouvait pas rendre les pêcheurs parfaits parce que ce n'était pas dans la loi de pouvoir faire ainsi. Je compare ça souvent à des panneaux qu'on voit lorsque nous sommes en train de voyager. et il y a des panneaux qui indiquent la vitesse, que ceux qui conduisent doivent suivre, ça c'est la loi, mais ce panneau ne peut en rien motiver ou bien forcer les gens à suivre cette loi, et c'est pourquoi beaucoup violent les lois, quoique les panneaux indiquent de ne pas dépasser telle ou telle vitesse ou bien de ne pas entrer, on voit souvent entrer interdit, autant les gens entrent quand même, tout cela nous voyons, un exemple que la loi, quoi qu'elle est bonne, ne peut pas rendre à la perfection ceux qui sont sous la loi. Alors, c'est pourquoi c'était nécessaire que Christ vienne. Et quand c'est écrit, verset 18, il y a ainsi abolition d'une ordonnance intérieure. Il ne faut pas croire que Dieu a simplement mis du côté la loi. Non, ce verset 18 est lié au verset précédent, dans la venue du Christ, par exemple dans le verset 17, « car ce témoignage lui est rendu tu et sacrificateur pour toujours », selon l'ordre de Melchizedek. Donc, l'abolition de ces ordonnances intérieures dépendait de ce nouveau sacrificateur, le Seigneur Jésus-Christ, étant venu, qui a maintenant accompli à tel point qu'il ne restait plus rien à satisfaire en ce qui concerne la loi et la justice de Dieu. Et ayant ainsi accompli cette loi, il ne restait plus que pour Dieu d'imputer ou bien d'éclater juste chaque pécheur pour qui Christ a été établi comme le souverain salvitateur. Ce n'est pas pour tous les autres. Ce n'est pas tous les hommes que Christ, en tant que souverain sacrateur, portait leur nom sur son vêtement, mais ceux qui étaient nommés de Dieu depuis l'éternité, les élus de Dieu, c'est pour cela que cette loi a été établie et maintenant abolie, comme c'était écrit. Le mot grec traduit « annulation » ou bien « abolition », c'est le même que nous voyons dans Hébreu chapitre 9 et le verset 26, où c'était écrit « Autrement, il aurait fallu qu'il eût souffert plusieurs fois depuis la création du monde, tandis que maintenant, à la fin des siècles, il apparu une seule fois pour abolit le péché par son sacrifice. Une fois que le péché était aboli, donc, il ne restait plus la nécessité de cette loi, parce que la loi était satisfaite une fois conclute. Donc cette annulation de cette ordonnance intérieure, c'est exactement de ça que Paul lui-même écrivait d'Angela, chapitre 3, et les versets 19 à 25, tous les livres de la Bible sont unis. Il y a un seul message ici d'Angela, chapitre 3, à partir du verset 19, c'est écrit « Mais pourquoi donc la loi ? » Comme c'est écrit ici, « Mais si la loi ne pouvait pas rendre à la perfection, pourquoi la loi ? C'est une bonne question. Voilà la réponse. Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions jusqu'à ce que vienne la postérité à qui la promesse avait été faite. Donc, ça nous montre que Dieu donnant la loi, ça a été donné à cause des transgressions. La loi devait d'abord imposer les transgressions des pécheurs jusqu'à quand ? Jusqu'à ce que vienne la postérité à qui la promesse avait été faite. Ça, c'est quelle postérité ? Ça, c'est Christ. Il a été promulgué par des anges au moyen d'un médiateur. Dans l'Ancien Testament, ce médiateur était représenté par Moïse. Or le médiateur n'est pas médiateur d'un seul, tandis que Dieu est un seul. C'est intéressant la manière dont c'est expliqué, parce que d'habitude, lorsqu'il y a un médiateur, c'est entre deux parties. Mais ici, c'est écrit « tandis que Dieu est un seul », c'est-à-dire que Dieu lui-même a pris cette charge d'établir cette loi et cette justice en accord avec son Fils, parce que le Fils est Dieu, donc Dieu est un seul, il y a trois personnes bien sûr, mais un seul Dieu, et c'est en lui que tout a été achevé, il est ce médiateur, Christ est le médiateur de Dieu qui par qui maintenant Dieu est juste pour déclarer juste ce que Christ est venu sauver. Donc, la loi est-elle donc contre les promesses de Dieu ? Loin de là, s'il eut été donné une loi qui eût pu procurer la vie, la justice viendrait réellement de la loi ? Vous voyez comment Paul explique Cela de la même manière que l'auteur aux Hébreux, mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus-Christ à ceux qui croient. C'est-à-dire, cette foi qui est liée à la personne de Christ et l'œuvre de Christ, c'est par cette foi révélée, ce n'est pas par une croyance personnelle ici, mais c'était que ce qui avait été promis fut donné par la foi, par l'Évangile en Jésus-Christ à ceux qui croient. Avant que la foi vienne, nous étions enfermés sous la garde de la loi en vue de la foi qui devait être révélée. Est-ce que vous voyez comment l'apôtre Paul utilise le mot « foi » alors ? Ici, il s'agit de Christ, avant que Christ vienne, celui qui était promis. Nous étions enfermés sous la garde de la loi en vue de la foi, ou bien en vue de Christ qui devait être révélé. Ainsi, la loi était comme un pédagogue pour nous conduire à Christ afin que nous puissions justifier. Et notons bien, quand c'est écrit par la foi, dans le même contexte, par Christ, celui qui est l'objet de la foi, personne n'est justifié par leur croyance personnelle, comme si Une fois qu'ils croient, alors c'est là que Dieu les justifie parce qu'ils ont pu avoir cette croyance, non ? Le contexte indique que le mot « foi » ici, c'est synonyme pour Christ, afin que nous fussions justifiés par Christ, par ce qui est révélé de Christ dans l'Évangile, la foi, une foi, donnée à tous les saints, comme Jésus décrit dans son épivre. Et la foi étant venue, vous voyez, encore, Christ étant venu, nous ne sommes plus sous ce pédagogue, car vous êtes tous fils de Dieu, comment ? Par la foi en Jésus-Christ, par celui qui est l'objet de cette foi, c'est-à-dire le Seigneur Jésus-Christ. Alors c'est pourquoi nous ne nous fions plus à l'Ancien Testament ou bien nous ne retournons plus dans l'Ancien Testament pour essayer de chercher par notre propre obéissance à la loi, avoir un état de justification devant Dieu impossible. Tout cela a été accompli et maintenant mis de côté. Et c'est pourquoi, revenons dans Hébreu 7, puisque la loi n'a rien amené à la perfection, il y a eu maintenant l'introduction d'une meilleure espérance. Quelle est cette meilleure espérance ? Ce n'est autre que le Seigneur Jésus-Christ et son sacrifice qu'il a accompli pour les pécheurs, et c'est écrit par laquelle nous nous approchons de Dieu. Une meilleure espérance, j'aime bien ces mots à travers lesquels nous nous approchons de Dieu. Parce que nous avons un meilleur sacerdoce maintenant, nous avons un meilleur souverain sacrificateur et donc nous avons une meilleure espérance. Et c'est à travers lui, le Seigneur Jésus-Christ, le meilleur souverain sacricateur que nous nous approchons de Dieu. Notre espérance est uniquement dans ce Jésus-là, pas dans la loi de Moïse, ni notre capacité de garder la loi, mais en Jésus-Christ qui a effectivement gardé la loi, en tous ses aspects, et alors a établi cette justice de son peuple. Donc, avançons maintenant au verset 20. Ayant vu le contexte, nous voyons que Jésus a été fait souverain sacrateur par un serment direct de Dieu. C'est en cela qu'il diffère des souverains sacrateurs qui l'ont précédé. C'est écrit dans le verset 20 « Et comme cela n'a pas eu lieu sans serment, « Car tandis que les Lévites sont devenus sacrificateurs sans serment, Jésus l'est devenu avec serment par celui qui lui a dit. Le Seigneur a juré et il ne se repentira pas. Tu es sacrificateur pour toujours. » Ça, c'est une citation tirée de Sombres 110, verset 4. Donc, nous voyons déjà par ce qui était écrit dans l'Ancien Testament, même lorsque cela était encore sous la loi, mais cette meilleure promesse et cette meilleure espérance étaient déjà là dans la loi, pour que les gens ne se découragent pas, parce que la loi ne pouvait que condamner, mais voilà, dans la loi même, nous voyons cette espérance révélée en ce qui concerne le Seigneur Jésus-Christ. Et encore, il y a une différence. Exactement comme nous avons vu en ce qui concerne Christ comme souverain sacrateur, il n'était pas selon l'ordre d'Aaron, mais selon un autre ordre de Melchizedek qui n'avait ni commencement ni fin de jour. Voilà comment il était donc d'un ordre supérieur Cette comparaison, ou bien ces contrastes, continuent ici en ce qui concerne la manière dont Christ était établi comme souverain sacrificateur par rapport aux Lévites. C'est écrit dans le verset 21. Les Lévites sont devenus sacrificateurs sans serment, c'est-à-dire qu'ils étaient nés dans cette tribu et donc ils ont été nommés sacrificateurs par hérédité. Le simple fait d'être né dans cette tribu, alors les qualifier d'être sacrificateur, mais ce n'était pas par un caractère personnel ni par serment de Dieu. Cela démontre alors comment la sacerdoce de Christ était supérieure, parce que le cas avec le Seigneur Jésus, et selon l'ordre de Messie-Zédek, quand c'est écrit par serment, c'est que Dieu lui-même a scellé son choix par ce serment que nous lisons. dans le Psalm 110, verset 4, « Le Seigneur a juré ». Ça, c'est Dieu lui-même. Il ne doit pas avoir question alors de ce que Christ est supérieur à tout ce qui l'a précédé, parce que c'est de Christ qu'il a juré, et cet Épée ne se repentira pas. Il y a des organisations religieuses aujourd'hui où les gens se mettent en habit de prêtres pour essayer de ressembler aux prêtres et sacrificateurs de l'Ancien Testament à côté d'eux tout en même temps en disant que non, ils représentent Christ. On ne peut pas faire cela. Il n'y a qu'un seul souverain sacrificateur aujourd'hui et c'est le Seigneur Jésus-Christ lui-même et cela pour toujours parce que Dieu lui-même, Dieu le Père, a juré qu'il devait être sacricateur pour toujours, selon un autre ordre, selon l'ordre de Melchizedek, et non pas selon l'ordre de la Première Alliance. Donc, dans le verset 22, nous voyons Pourquoi Christ est supérieur en tant que souverain sacrificateur ? Premièrement, parce qu'il a été fait sacrificateur par le serment direct de Dieu, mais deuxièmement, que le Seigneur Jésus est le garant d'une meilleure alliance. Vous voyez comment c'est écrit ? Jésus est par cela même le garant d'une alliance plus excellente. Notons combien de fois cela est répété. Un meilleur sacrifice, un meilleur souverain sacrificateur, une alliance plus excellente. Pour quelle joie de savoir cela. Donc, en venant dans la chair, le Seigneur Jésus-Christ est venu pour être le garant. Ce mot « garant », c'est un mot tiré du grec qui signifie une caution. Quelqu'un qui s'engage pour garantir l'exécution d'une obligation dans le cas où le débiteur n'y satisfierait pas. Si vous allez à la banque pour prêter de l'argent, la banque va souvent demander à ce qu'il y ait un garant dans le cas où vous ne pouvez pas payer, alors c'est le garant qui prend charge de payer. Et ce mot grec ancien peut aussi être traduit caution. Jésus est par cela même la caution d'une alliance plus excellente. Alors, c'est-à-dire que tout le devoir repose sur lui pour payer la dette. Ce qui est clair, c'est qu'il n'y a aucun pécheur capable de satisfaire la justice de Dieu. Donc ce n'est pas comme si Dieu demande cela d'abord du pécheur et si le pécheur ne peut pas satisfaire, alors c'est là que Jésus devient maintenant le garant. Non. Nous savons que depuis la chute d'Adam, nous sommes tous pécheurs, incapables de faire quoi que ce soit. Et puisque nous sommes déjà incapables, c'est ainsi que Christ a été établi déjà comme le garant de cette alliance plus excellente, même avant les temps éternels, même avant qu'il y ait eu la chute d'Adam, Christ était là déjà comme celui qui devait prendre la place des pécheurs que le Père lui a donné. Alors, une meilleure alliance, l'ancienne alliance avait un médiateur bien sûr, c'était Moïse, mais il n'y avait personne pour garantir le côté du peuple de l'alliance, même Moïse n'a pas pu. et pourquoi il n'est pas entré avec les enfants d'Israël dans la terre promise ? Cela ne veut pas dire qu'il n'était pas sauvé parce que le Canaan ne représente pas le ciel. Le Canaan représente cette terre promise que Dieu avait donnée à Abraham et il a effectivement accompli ce qu'il a promis en faisant entrer le peuple d'Israël dans ce pays. Mais c'est loin de représenter le ciel, heureusement, parce qu'il n'y avait que des guerres et des conflits, même après que les enfants d'Israël sont entrés dans cette terre promise. Cela n'est pas un symbole du ciel où tout est le repos. Le ciel est différent. Mais le point à retenir ici, c'est que même Moïse n'a pas pu garantir le repos au peuple de l'Alliance de l'Ancien Testament. Donc, en cela, nous voyons encore la nécessité. C'est pourquoi Moïse lui-même a dit que Dieu devait susciter un autre prophète comme lui. En Deutéronome 18, verset 15, il a dit « écoutez-le ». Bon, de qui est-ce qu'il parlait ? Il parlait du Seigneur Jésus-Christ. Donc cette nouvelle alliance est décrite ici comme une meilleure alliance. Et le garant de cette nouvelle alliance n'est plus un simple homme, ni ses sacrificateurs qui représentaient l'ancienne alliance, mais le Seigneur Jésus-Christ lui-même. Et puisque c'est le Seigneur Jésus-Christ lui-même et il est le meilleur souverain salvateur, donc c'est pourquoi cette alliance aussi est assurée. En fait, il y a deux mots utilisés dans le grec pour décrire une alliance. Le mot utilisé pour « alliance » ici, mais ce n'est pas le terme habituel, le sens littéral de ce mot que nous avons ici dans le verset 22 « diatiké ». C'est plus proche de l'idée d'un testament, c'est pourquoi nous parlons d'un nouveau testament, nous parlons d'un ancien testament. Un testament, nous savons que c'est dans le sens d'une dernière volonté, un testament que quelqu'un laisse maintenant pour sa postérité. Alors, ici, c'est ça le sens de cette alliance. C'est un accord selon lequel nous pouvons rencontrer Dieu à travers le Seigneur Jésus. Et ce n'est pas quelque chose que nous devons négocier avec lui. Les termes, les conditions sont dictées. Et ce n'est pas à nous d'accepter ou de rejeter. C'est les termes par lesquels Dieu accepte les pécheurs. C'est révélé dans ce testament. Mais pour accéder au bénéfice de ce testament, cette alliance, comme c'est écrit là, il faut d'abord la mort du testateur, il y a un testateur. Donc, dans le verset 22, lorsque Christ est appelé le garant, il faut savoir qu'il est aussi appelé le testateur, qu'à travers sa mort, parce que j'ai un testament pour mes enfants. Mais les enfants ne vont pas rentrer dans les bénéfices de ce testament jusqu'à ce que je sois mort. Il faut ma mort d'abord. Et c'est comme ça avec le Seigneur Jésus-Christ. Il fallait qu'il meure. Maintenant, nous voyons une troisième différence entre les les sacrificateurs de l'Ancien Testament par rapport à Christ, les sacrifices, la loi. Ici, dans le verset 23-25 de mon texte, nous voyons un sacerdoce immuable. Cela veut dire qu'il est basé sur Christ comme ce souverain sacrificateur supérieur, alors les effets aussi sont supérieurs. Comme nous avons déjà vu, la loi ne pouvait rien amener à la perfection, et certainement ni notre obéissance à la loi. Mais en ce qui concerne l'œuvre de Christ, pourquoi son sacerdoce est meilleur ? C'est parce que c'est immuable, d'abord, et ça produit un salut durable, c'est-à-dire éternel. Voyons ça dans le verset 23 à 25. De plus, il y a eu des sacrificateurs en grand nombre, parce que la mort les empêchait d'être permanents. Mais lui, Christ qui est supérieur, parce qu'il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n'est pas transmissible. Pendant ce testament, lorsqu'un sacrificateur mourait, alors ça passait. à l'autre, mais ici, il a un sacerdoce qui n'est pas transmissible. C'est aussi pour cela qu'il put sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivants pour intercéder en leur faveur. Oh, quel glorieux souverain sacricateur, alors, dans la personne du Seigneur Jésus-Christ, Notons aussi cette différence dans l'enseignement. Il y en avait plusieurs, il y en avait beaucoup, comme c'est écrit. Un grand nombre, c'est-à-dire ces 23, c'était nécessaire. Et les sacrifices devaient continuer parce que rien dans cela ne pouvait ôter le péché. Mais lorsque Christ est venu et il a accompli parfaitement la loi dans sa vie et satisfait à la fin de la loi dans sa mort, donc tout est accompli. et ce sacerdoce n'a pas besoin de passer à un autre, c'est pourquoi ce n'est pas transmissible. Là, il y avait beaucoup de sacricateurs parce qu'ils étaient empêchés par la mort de continuer, mais lui, comme c'est écrit là, le verset 24, Christ, parce qu'il continue pour toujours, ainsi il a un sacerdoce immuable, et c'est pourquoi il est aussi capable de sauver, j'aime la manière que c'est placé là, jusqu'au bout, parfaitement, sauver au maximum ceux qui viennent à Dieu par lui, puisqu'il vit toujours pour intercéder aux eux. Il ne faut pas imaginer qu'il est dans le ciel en train de prier, chaque fois qu'un de ses enfants en chute, Voilà, il est en train d'essayer d'apaiser la colère du Père pour dire non, non, il ne faut pas se fâcher parce que j'ai pésé, non. Lorsque c'était créé, là qu'il vit pour intercéder en sa faveur, sa présence au ciel, pourquoi il est là ? Il est monté au ciel parce qu'il a déjà accompli tout ce qui est nécessaire pour que Dieu soit juste pour justifier et comme c'est qu'en ce qui concerne Christ, le Seigneur a juré et il ne se repentira pas. La même chose peut être dit de ceux pour qui Christ est leur souverain sanctateur. La faveur de Dieu ne change jamais en ce qui concerne son Fils et alors ça ne change jamais en ce qui concerne ceux que le Fils représente. C'est en cela et c'est dans ce souverain sacrateur que nous avons la sécurité du croyant. Les gens aiment parler de la sécurité du salut, d'être sûr du salut. La sécurité n'est pas en nous, non plus dans notre décision, mais en Christ. C'est parce qu'il vit pour intercéder. en faveur de ceux pour qui il est mort. Et c'est ainsi que son salut est au maximum. Il n'y a aucun péché qu'un de ses enfants peut commettre pour lequel maintenant Dieu dira, vous direz, il n'est plus mon enfant. On ne peut pas perdre ce que Christ a gagné. Voilà la sécurité du croyant. Il faut souvenir aussi, parce que c'est écrit dans le verset 25, c'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui. Il y a des prédicateurs qui aiment mettre l'accent sur l'approche ou l'avenue, et comment venir, et comment ça doit y mettre des conditions, des règlements. Notons première, la Bible est sainte. il peut sauver parfaitement ceux qui s'accrochent de Dieu par lui, parce que c'est lui-même qui les attire. Comme Christ l'a dit dans Jean chapitre 6, « Nul ne peut venir à moi si ce n'est le Père qui l'attire ». C'est pourquoi il sauve parfaitement ceux qui s'accrochent de lui, parce que c'est lui par son Esprit qui les attire. Lorsque nous sommes nés dans ce monde, quoi qu'il eût, depuis l'éternité, mais nous sommes nés dans l'ignorance, nous sommes nés dans les ténèbres. Mais à un moment donné, c'est l'esprit qui révèle prise dans le cœur et c'est ainsi que nous approchons de lui. Mais il est toujours là et a toujours été là, vivant ou intercédé. Son intercession inclut l'approche, inclut le fait de faire venir à lui chacun pour qui il est mort. Et je dois dire que le salut n'est pas dans notre venue au Christ, mais plutôt dans le Christ à qui nous venons. Vous voyez, en Jésus, notre sécurité totale du salut et dans notre élection éternelle en lui, dans la rédemption qu'il a accomplie en faveur de son peuple, et c'est ainsi que nous sommes en sécurité. Vous pouvez dire beaucoup plus là-dessus, mais nous continuons au prochain point, et encore voyons comment créer ses supérieurs dans sa personne et dans son honneur. Et dans les versets 26 à 28, les trois derniers versets de ce chapitre, nous voyons comment le Seigneur Jésus est meilleur, il est mieux qualifié pour être un souverain sacricateur que n'importe quel sacricateur de l'ordre de la loi de Moïse. Vu tout ce que nous avons vu jusque-là, c'est écrit verset 26, il nous convenait en effet d'avoir un souverain sacricateur comme lui, et notons les qualifications ici. Aucun de ces termes ne pouvait s'appliquer aux sacrificateurs qui l'ont précédé. Saint, innocent, sans tâche, séparé des pécheurs. Même les sacrificateurs de l'Ancien Testament, quoi qu'ils s'appliquent comme sacrificateurs, étaient des pécheurs. Mais lui, séparé des pécheurs, est plus élevé que les cieux. qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrateurs, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en se souffrant lui-même. En effet, la loi établit le souverain sacrateur des hommes sujets à la faiblesse, mais la parole du serment qui a été faite après la loi établit le fils ô combien le Seigneur Jésus est mieux qualifié. Et heureusement, nous avons un tel souverain sacrateur qui nous convenait, de la manière que c'est écrit là, il nous convenait. Les sacrateurs, sous la loi de Moïse, n'avaient pas ce caractère personnel du Fils de Dieu. Jésus est saint, et Sainte Catherine de l'Ancien Testament devait porter un habillement qui représentait la sainteté. Mais Christ lui-même, dans tout son être, tout son être était saint. Et c'est écrit là « innocent ». Ce mot « innocent » signifie inoffensif, sans fraude ni tromperie. s'entachent, séparés des pécheurs, dans le sens de ne pas partager leur péché. Il est venu porter le péché, mais il n'est pas devenu pécheur, loin de là. Mais si Jésus est de loin supérieur dans son caractère personnel que n'importe quel sacrificateur terrestre, donc il fallait ça cette perfection dans sa personne, mais aussi dans son œuvre. Et c'est ainsi qu'il est devenu plus haut que les cieux, plus élevé, dans le verset 26, que les cieux. Il y a deux faits qui prouvent le caractère parfait de Jésus. Premièrement, son exaltation au ciel. Quand on parle de l'Évangile, c'était nécessaire qu'il vienne, qu'il prenne chair, vit une vie de perfection par rapport à la Loi, tous ses détails, qu'il meure, qu'il soit enseveli et qu'il ressuscite. Mais il ne faut pas ignorer aussi la partie de son œuvre, son exaltation au Ciel. Il ne serait pas exalté au Ciel s'il n'avait pas effectivement compris parfaitement tout ce que le Père lui avait donné. Donc ça c'est la première des choses. Et deuxièmement, qui n'avait pas besoin d'offrir des sacrifices d'abord pour ses propres péchés, comme les sacrificateurs qui l'ont précédé, mais si les morts c'était pour les péchés des autres, quand il s'est offert lui-même, le sens-là c'est uniquement et totalement. Un sacrificateur Les sacrificateurs qui l'ont précédé ont pu porter un sacrifice et l'offrir sur l'autel, mais Jésus était lui-même à la fois le sacrificateur et le sacrifice. C'est pourquoi le meilleur sacrifice apporté à Dieu le Père était apporté par le meilleur sacrificateur, c'est-à-dire Voilà ce qui est écrit là. Oh, quelle bonne nouvelle. C'était une offrande. Une manière de lire ça, il s'est offert lui-même une offrande volontaire. Cela rend le sacrifice de Christ si béni et glorieux, le fait qu'il a volontairement, à la satisfaction de son Père, donné sa vie. Ça, c'est un contraste avec l'image que nous avons dans l'Ancien Testament, avec les sacrificateurs qui traînaient les taureaux et les ont conduits à l'autel pour les faire mourir, les moutons. Et puis, une fois arrivés à l'autel, ils devaient lier les mollets avec des cordes. et les attacher pour ne pas qu'ils soient bougés. Mais en ce qui concerne Christ, il s'est donné lui-même. Aucun ne l'a contraint à mourir. Il a donné volontairement sa vie. Et c'est pourquoi il a dit dans Jean 10, verset 18, il avait le pouvoir de donner sa vie et aussi de reprendre. Personne ne lui a coûté la vie. Tel est le commandement qu'il a reçu de son Père. Quel souverain sacrateur merveilleux dans la personne de Jésus-Christ. Et c'est ainsi qu'il est un fils et un souverain sacrateur pour toujours. Alors que le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, le souverain sacrateur, soit exalté. Amen. Sous-titrage MFP.